La capacité de la région Proche-Orient et Afrique du Nord à réaliser des avancées majeures dans la concrétisation du deuxième Objectif de développement durable (ODD 2) dépendra, dans une large mesure, de la gestion durable des ressources en eau pour l’agriculture et de l’adaptation au changement climatique. La transformation agricole dans cette partie du monde a suivi une trajectoire particulière ayant conduit à un déséquilibre entre le développement agricole rural et urbain, qui se manifeste de manière très visible dans les systèmes de production alimentaire.
Pendant des siècles, les agriculteurs, éleveurs, pêcheurs et sylviculteurs ont développé des systèmes agricoles diversifiés, adaptés à leurs conditions locales, en employant des techniques et des pratiques ingénieuses, éprouvées au fil du temps, afin de fournir un ensemble vital de services sociaux, culturels, écologiques et économiques à l'humanité. Ces «Systèmes ingénieux du patrimoine agricole mondial» (SIPAM) sont des paysages d'une beauté remarquable associant la biodiversité agricole à des écosystèmes résilients et à un précieux patrimoine culturel.
Ce document d’orientation reprend les enseignements tirés d’un examen approfondi des publications relatives aux systèmes d’innovation des petits exploitants agricoles et d’une consultation d’experts sur le même thème, organisée pendant deux jours à Genève par le Bureau Quaker auprès des Nations Unies (QUNO) en mai 2015.
Ce manuel est destiné aux formateurs des organisations paysannes (OP) et à leurs membres en Afrique sub-saharienne. Le but étant de fournir une formation sur les techniques et opérations après-récolte afin d’améliorer la qualité des grains et ainsi de permettre l’augmentation des revenus et l’amélioration de la sécurité alimentaire des agriculteurs participants au programme. Dans le passé, les formations sur les opérations après-récolte n’ont pas été normalisées entre les différents pays membres du programme P4P.
"Ici, ailleurs... la terre qui nous nourrit" suit l’itinéraire de Gavin, jeune maraîcher bio anglais qui travaille dans une ferme du sud de l’Angleterre. Confronté à la perte de ses terres agricoles, il prend conscience de la difficulté de trouver des terres pour développer des projets d’agriculture de proximité comme le sien. Il part alors à la rencontre d’autres fermiers européens qui ont eux aussi bataillé pour trouver des terres et les conserver dans la durée.
Les changements climatiques sont intimement liés à l’agriculture et à la sécurité alimentaire. En effet, on peut considérer l’agriculture à la fois comme acteur, victime et sauveur des changements climatiques. Malgré ce triple rôle évident, l’agriculture n’apparait pas en tant que telle dans les négociations.
The FAO e-learning courses cover a wealth of topics in the areas of food and nutrition security, social and economic development and sustainable management of natural resources.
All our courses are designed for self-paced learning, and offered free of charge.
During the period 2013-2019, the Agricultural Extension in South Asia (AESA) Network has served as a platform for collating the voices, insights, concerns, and experiences of people in the extension sphere of South Asia. Diverse professionals shared their concerns on the present and future of Extension and Advisory Services (EAS) in the form of blog conversations for AESA. Together, all of these individuals who are involved, interested and passionate about EAS, discussed ways to move beyond some of the seemingly intransigent problems that are hindering the professionalization of EAS.
Agricultural production is a crucial and fundamental aspect of a stable society in China that depends heavily on the climate situation. With the desire to achieve future sustainable development, China’s government is taking actions to adapt to climate change and to ensure food self-sufficiency.
The frequency of natural disasters, especially storms and floods, has been increasing globally over the last several decades. Developing countries are especially vulnerable to such disasters but are often the least capable of coping with the associated impacts because of their limited adaptive capacity. Despite the increased interest in strengthening institutional capacity, it remains a challenge for many developing countries. Institutional capacity for disaster management and risk reduction can be built through various mechanisms.