The rural space is home to 53 percent of Nigeria's population and more than 70 percent of its poor. While it is well understood in Nigeria that financial exclusion of the rural population stunts development, still fewer than 2 percent of rural households have access to any sort of institutional finance.
Ethiopia has a diverse agro-ecology and sufficient surface and ground water resources, suitable for growing various temperate and tropical fruits. Although various tropical and temperate fruits are grown in the lowland/midland and highland agro-ecologies, the area coverage is very limited. For example, banana export increased from less than 5,000 tons in 1961 to 60,000 tons in 1972, but in 2003 declined to about 1,300 tons worth less than USD 350,000.
The IPMS capacity building workshop was to develop the capacity and practical skill of frontline staff to integrate a gender and HIV/AIDS perspective into market-led agricultural development interventions and their day to day activities of rural development.
In the Amazon, slash and burn is the most common technique used by American-Indians, small farmers and even big ranches to transform forests into rural landscapes. The basis of food subsistence for diverse populations (rice, corn and bean), slash and burn is also a must for the plantation of cocoa, coffee, palms and pastures. The Amazonian rural landscape is currently dominated by pastures, occupying around 80 % of the deforested surface.
Les démarches de développement local sont assez standardisées : à partir d'un diagnostic territorial, on met en oeuvre un appui technique et financier aux organisations locales, pour la réalisation de projets dont elles assureront la gestion. Mais les organisations locales sont de nature variée, toutes n'ont pas forcément envie de gérer les équipements qu'elles demandent ; ceux-ci sont plus ou moins complexes à gérer et certains relèvent des prérogatives communales. Enfin, le diagnostic initial dépend de la logique d'ensemble de l'action.
Les mutations du secteur agricole bamiléké (Ouest-Cameroun) ont été très importantes depuis le milieu des années 80, marqué par la chute des prix du café, alors principale production du pays Bamiléké, et par la crise économique au Cameroun. Dans cette thèse, le concept de dispositif (Foucault, Moisdon, Maugeri, RIDT-INRA) est l'outil principal d'analyse de ce secteur agricole.
Cet article propose de s’interroger sur les outils géographiques d’évaluation de la durabilité socioéconomique, dans le cadre d’une réflexion surle rôle de l’agriculture dans le développement durable des territoires ruraux. L’exemple de la commercialisation des produits bio, à travers la comparaison de deux systèmes de livraison à domicile de paniers de fruits etlégumes bio dans la région de Stockholm, a permis d’élaborer et de tester une méthodologie d’évaluation de la durabilité des réseaux alimentaires étudiés.
En étudiant les apprentissages produits par la mise en place des contrats territoriaux d’exploitation (CTE) puis des contrats d’agriculture durable (CAD) à l’île de la Réunion, nous montrons de quelle manière ces outils ont impulsé les prémices d’une agriculture durable dont nous pensons que les apprentissages sont une composante essentielle. Notre travail s’appuie sur des entretiens avec les acteurs du développement rural, techniciens des organisations de développement notamment.
Depuis plusieurs décennies, la canne et la banane, monocultures fortement dépendantes des intrants, façonnent le paysage guadeloupéen de manière binaire : canne au Nord et banane au Sud. Depuis quelques années la production de bananes est dans une situation difficile avec l’évolution rapide du cadre régle- mentaire et du fonctionnement du marché de la banane. Les planteurs et les organisations agricoles doivent réfléchir à une nouvelle orientation des itinéraires techniques conventionnels.
Des réformes institutionnelles ont autorisé la liberté d’association dans les pays du Maghreb. L’émergence et/ou l’essor d’un réseau ramifié d’organisations offertes par ces nouvelles politiques de développement rural ont multiplié les possibilités d’action autonome des acteurs sociaux dans la vie locale.