Agricultural policies in sub-Saharan Africa have paid insufficient attention to sustainable intensification. In Uganda, agricultural productivity has stagnated with aggregate increases in crop production being attributed to expansion of cultivated land area. To enhance sustainable crop intensification, the Ugandan Government collaborated with stakeholders to develop agricultural policies using an evidence-based approach. Previously, evidence-based decision-making tended to focus on the evidence base rather than evidence and its interactions within the broader policy context.
Research-based evidence on the adoption of climate-smart agricultural practices is vital to their effective uptake, continued use and wider diffusion. In addition, an enabling policy environment at the national and regional levels is necessary for this evidence to be used effectively. This chapter analyzes a 4-year period of continuous policy engagement in East Africa in an attempt to understand the role of multi-stakeholder platforms (MSPs) in facilitating an enabling policy environment for climate change adaptation and mitigation.
Partout dans le monde, de plus en plus de jeunes se détournent de l’agriculture. Avec ses travaux manuels pénibles et ses faibles salaires, l’agriculture traditionnelle n’attire pas les nouvelles générations qui préfèrent généralement tenter leur chance à la ville pour trouver un emploi. L’agriculture est pourtant le secteur qui offre le plus de potentiel pour réduire la pauvreté, par exemple en Afrique subsaharienne où plus de soixante pour cent de la population, estimée à 1,2 milliard d’habitants, est âgée de moins de 25 ans.
Recent research has analyzed whether higher levels of farm production diversity contribute to improved diets in smallholder farm households. We add to this literature by using and comparing different indicators, thus helping to better understand some of the underlying linkages. The analysis builds on data from Indonesia, Kenya, and Uganda. On the consumption side, we used 7-day food recall data to calculate various dietary indicators, such as dietary diversity scores, consumed quantities of fruits and vegetables, calories and micronutrients, and measures of nutritional adequacy.
Background
Introduction:
Agricultural biotechnology holds a unique position in formulating food and trade policies due to its conflicting aspects: its potential to improve food security especially in developing countries, and the intense debates over its risks and unknown impacts on human health and the environment. Agricultural biotechnology, nevertheless, has been widely utilized to help enhance food security with its extensive applications.
Explanation:
L’Afrique Subsaharienne n'a pas assez bénéficié des grandes révolutions connues du monde agricole qui ont permis d’accroitre les productivités. Malgré l’existence des nouvelles technologies, les niveaux des productivités agricoles demeurent faibles et inférieurs à ceux d’autres régions en développement. Un certain nombre de facteurs, dont les contraintes à l’adoption des nouvelles technologies, pourraient expliquer ces faibles productivités.
Le programme de la GIZ intitulé « Amélioration des conditions-cadres dans le secteur privé et financier (ProEcon) » vise à promouvoir le développement économique au Zimbabwe. Parmi les projets conçus à cet effet figure la promotion des cycles économiques en milieu rural. Se fondant sur l’agriculture contractuelle comme instrument efficace, le projet ProEcon appuie l’intégration des petits exploitants agricoles dans les chaines de valeur, l’objectif étant d’augmenter leurs possibilités de revenu.
L’article analyse, à l’aide de la méthode ImpresS conçue par le Cirad, un processus d’innovation impulsé par les utilisatrices d’un équipement de transformation : le décortiqueur et blanchisseur de fonio (Digitaria exilis Stapf) en Afrique de l’Ouest. L’identification du système d’acteurs et le récit chronologique du processus d’innovation ont été mobilisés pour caractériser les mécanismes et les conditions qui expliquent la réussite de cette innovation.
L’agriculture oasienne reflète l’ingéniosité d’une société ayant pu vaincre un milieu hostile et défavorable au peuplement. En Algérie, cette agriculture traditionnelle a été bouleversée par l’introduction des emplois non-agricoles, qui ont perturbé la stratification sociale établie.