C’est un pays-continent, planté au milieu de l’Afrique centrale, dont les possibilités agricoles et rurales sont énormes. Les dirigeants de la République démocratique du Congo doivent cependant dépasser une vision extractive de l’économie et renforcer les véritables forces productrices, essentiellement agricoles, tout en sauvegardant le fabuleux patrimoine naturel du pays. En élaborant un Code agricole, le gouvernement congolais affiche l’ambition de se doter de moyens pour relancer l’agriculture, la pêche et l’élevage.
La production et le commerce du lait sont révélateurs des enjeux de la lutte contre la pauvreté. La volatilité des prix du lait sur les marchés internationaux constituerait l’une des principales entraves au développement de filières laitières dans les pays du Sud. Cette année, la production de lait des pays pauvres représentera pourtant 48% de la production laitière mondiale; mais les produits laitiers importés du Nord mettent en difficulté les producteurs locaux.
Au moins 2,5 millions d’hectares de terres ont été achetés en Afrique par des états étrangers, des multinationales ou des fonds de pension, soit l’équivalent du territoire de la Belgique. C’est ce que révèle un rapport de la FAO – l’Agence des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation. La FAO s’inquiète des violations des droits des paysans que ces accaparements de terres peuvent entraîner, et s’interroge sur la participation des populations locales aux bénéfices générés. Mais elle y voit avant tout une perspective de développement. Au profit de qui ?
L’agriculture paysanne, valorisée dans le rapport remis par les experts de l’IAASTD, participe au développement durable. Forte utilisatrice de main d’œuvre, caractérisée par une utilisation raisonnée des intrants sur des cultures extensives, elle participe également au maintien du tissu social rural. L’agriculture paysanne est en général familiale. Les membres de la famille sont soucieux de préserver l’exploitation pour les générations futures.
Este documento describe la iniciative de ;a Secretaría de Fomento Agropecuario del Estado de Coahuila que crea a solicitud expresa de los productores rurales, el programa de extensionismo agropecuario y rural, con el propósito de llevar al campo un sistema integral de asistencia técnica, soportado en la tecnología que generan las instituciones de investigación, y con el respaldo de técnicos altamente capacitados, comprometidos con el desarrollo rural sustentable. Dentro de los principales objetivos del programa, está en el caso de cultivos, elevar los rendimientos y mejorar su calidad, y pa
Developing competitive agro-industries is crucial for generating employment and income opportunities. It also contributes to enhancing the quality of, and the demand for, farm products. Agro-industries have the potential to provide employment for the rural population not only in farming, but also in off-farm activities such as handling, packaging, processing, transporting and marketing of food and agricultural products. There are clear indications that agro- industriesare having a significant global impact on economic development and poverty reduction, in both urban and rural communities.
This study explores one of the most important questions for alleviating poverty in sub-Saharan Africa, why are advancements in agricultural technology not taking root in this region? Using data from deep interviews of 42 small-scale farmers in Ghana and Cameroon, a conceptual analysis of drivers and factors of agricultural technology adoption in this region is made and represented as causal loop diagrams. Interviews also provide a basis for weighting factors that farmers consider before adopting a new technology.
This flyer expresses the idea that Agricultural knowledge, science and technology (AKST) cannot be achieved through business as usual and that nstitutions are needed that can drive efforts in the face of unprecedented challenges. The discussed key questions are: How have institutions shaped the development of AKST? What are their impacts on sustainable and equitable development? Which institutional arrangements have the greatest potential to drive and deliver sustainability and development goals?
Pendant des décennies, la faiblesse des investissements publics dans l’agriculture a laissé les agriculteurs extrêmement vulnérables face à l’instabilité des prix, aux crises climatiques et économiques, et sans moyen pour sortir de la pauvreté. Les bailleurs de fonds et les gouvernements doivent concevoir le soutien à l’agriculture comme partie intégrante de la solution à long terme aux crises alimentaires, financières et climatiques.
This is the third volume of the proceedings of the national conference on "Water for Food and Environment", which was held from June 9 -11, 2009 at the Bandaranaike Memorial International Conference Hall (BMICH). The volumes 1 and 2 have been produced as separate documents of this report series. In response to a call for abstracts, 81 abstracts were received from government institutes dealing with water resources and agriculture development, universities, other freelance researchers and researchers from the International Water Management Institute (IWMI).