Commercial Villages Stores (CVS) Programme has been developed and is being implemented by Farm Concern International (FCI) with financial support from USAID/COMPETE (the Competitiveness and Trade Expansion Program) in Kenya and Uganda. The programme, which commenced in September 2009, is aimed at graduating smallholder farmers from subsistent farming to market-oriented production as active and reliable agri-commodity value chain players.
The USAID COMPETE (the Competitiveness and Trade Expansion Program) funded Commercial Village Stores (CVS) project implemented in Kenya, Meru region in Eastern Province and Eastern Uganda (Jinja) has continued to educate the target communities on post harvest solutions at the village level. Quarter 4 (July-Sept 2010) activities sought to build on strengthening the Meru sites collective action in post harvest handling and storage at the village level with an outreach to more than 10000 farmers in Igoji, Tigania East, Tigania West and Tharaka Districts.
The Commercial Village Stores (CVS) project funded by USAID COMPETE (the Competitiveness and Trade Expansion Program) implemented in Kenya, Meru region in Eastern Province and Western Uganda Bushenyi district has continued to benefit under the project.
The Improved Agriculture for Smallholders Western Kenya (TASK) is one of five projects in the five-year USAID funded Development Assistance Program (DAP) II referred to as Sustainable Livelihood Security for Vulnerable Households program in Nyanza province. It aims to improve, in a sustainable manner, food and livelihood security for 4500 vulnerable households in 7 districts in Nyanza province.
Le Tuy, province de l'Ouest du Burkina Faso est une région soudanienne à forte pression démographique et pastorale où se posent avec acuité des problèmes de fertilité des sols. Face à la dégradation des ressources naturelles, opter vivre dans son milieu natal et s'assurer une bonne production agropastorale nécessite de la part des acteurs des actions concertées. Le projet Fertipartenaires aide les producteurs de cette province à se concerter, à réfléchir à leurs problèmes, proposer et expérimenter des solutions et les évaluer afin d'améliorer leur sécurité alimentaire.
Les organisations de producteurs agricoles sont souvent considérées comme un moyen de permettre un meilleur accès des producteurs aux marchés agricoles. Notre étude montre que cette affirmation n’est valable que dans le cas de filières présentant des caractéristiques techniques relativement complexes, nécessitant une coordination entre producteurs et opérateurs aval pour la commercialisation. Dans le cas de filières à caractéristiques techniques plus simples, la coordination par le marché permet un accès facile des petits producteurs.
Face aux enjeux majeurs pour l’avenir de la sécurité alimentaire et de l’agriculture mondiale, le phénomène d’acquisition et de location de terres à grande échelle est un sujet fortement controversé qui mobilise activement les médias et l’opinion publique.
Le présent document est organisé en deux grandes parties. Une première partie dite « de synthèse » qui à partir de six études de cas d’investissement massif dans les terres en Afrique, en Asie et en Amérique latine, se propose de :
Pour répondre à la montée en puissance des enjeux environnementaux, le monde agricole met en œuvre des dispositifs agri-environnementaux (AE) à destination des agriculteurs afin d’en orienter les pratiques.
Le Touat-Gourara-Tidikelt est un très vaste espace, qui occupe près du quart la superficie du Sahara algérien. Il fait partie intégrante de la zone la plus aride du monde, aux contraintes naturelles particulièrement difficiles. Cet espace connu comme le « Pays des foggaras » était savamment exploité, depuis plus d’un millénaire, par les oasiens qui profitaient de la dynamique économique impulsée par le commerce transsaharien.
L’agriculture française fait l’objet de critiques du fait des pressions qu’elle exerce sur les ressources naturelles, des transformations qu’elle opère sur les paysages et de la qualité parfois contestée de ses productions. Face aux attentes sociales et aux pressions réglementaires, des agriculteurs ont choisi de s’organiser en réseau pour proposer des pratiques agricoles alternatives. Une véritable dynamique est en œuvre chez ces agriculteurs minoritaires qui cherchent à diffuser leurs expériences en créant de nouveaux liens au sein de la population agricole.