Au Brésil, la diffusion du modèle de gestion intégrée des ressources en eau varie fortement selon l’environnement socio-territorial. Le Sud présente un dynamisme certain s’appuyant sur des initiatives locales. Les acteurs locaux sont organisés en comité de bassin et développent des actions pour améliorer la gestion des ressources. Dans le Nordeste, la marche vers ces nouveaux modes de gestion paraît difficile tant les inerties sociales et culturelles freinent un partage réel du pouvoir, des ressources et des coûts.
L’objectif de ce travail est de proposer un plan de formation des différents catégories d'acteurs (à identifier) dans le but d'apporter une contribution significative au renforcement de capacité dans chaque pays et dans la sous-région. Des actions précises visant à permettre aux acteurs de lever les éventuels blocages institutionnels devront accompagner ce processus de renforcement des capacités, notamment en ce qui concerne la négociation, le lobbying, la mise en réseau etc.
Les résultats attendus de ce travail sont :
L' étude de la Banque Mondiale a identifié des mesures d’atténuation pouvant apporter des solutions à court et à long termes aux problèmes du secteur agricole du Niger. Il s’agit, notamment de :
l’utilisation de variétés à haut rendement résistantes à la sécheresse,
l’application de techniques de CES/DRS et de gestion des ressources naturelles,
l’extension des surfaces sous irrigation,
la lutte préventive contre les criquets pèlerins,
La consommation de produits certifiés n’est plus l’apanage des pays développés. Au Kenya, les premiers marchés biologiques sont apparus à Nairobi en 2006. Ils sont approvisionnés par des maraîchers, confrontés à une diversité de défis : construire une certification biologique crédible, garantir la fraîcheur des produits et composer avec l’hétérogénéité des attentes des consommateurs. À partir de données d’enquête et du cadre analytique des coûts de transaction, nous analysons l’organisation des marchés de 2006 à 2013.
Les Champs-Ecoles des Producteurs (CEP) sont une approche d’apprentissage participatif utilisée dans de nombreux différents contextes à travers le monde. Un CEP rassemble un groupe d'agriculteurs, d'éleveurs ou de pêcheurs, dans le but d’apprendre à s'orienter vers des pratiques de production plus durables. C’est un espace d’apprentissage collectif et concret, qui permet aux populations locales d'améliorer leurs compétences en matière d'analyse critique et de prise de décisions.
El Catálogo latinoamericano de experiencias en agricultura familiar TEC 2018 presenta 31 soluciones innovadoras, que han logrado consolidarse como tecnologías sociales, o avanzan en tal dirección. Entendemos por tecnología social la innovación social estructurada por el conjunto de conocimientos, prácticas, métodos e instrumentos que han resuelto una problemática en una comunidad. Estas tecnologías que se caracterizan por su bajo costo, facilidad de aplicación y mínimo impacto ambiental, facilitan el proceso de apropiación por parte de otras comunidades.
"Ici, ailleurs... la terre qui nous nourrit" suit l’itinéraire de Gavin, jeune maraîcher bio anglais qui travaille dans une ferme du sud de l’Angleterre. Confronté à la perte de ses terres agricoles, il prend conscience de la difficulté de trouver des terres pour développer des projets d’agriculture de proximité comme le sien. Il part alors à la rencontre d’autres fermiers européens qui ont eux aussi bataillé pour trouver des terres et les conserver dans la durée.
Fidèle à sa tradition d’exploration des principales questions émergentes, Nature & Faune a choisi de consacrer cette édition à l’examen de cette urbanisation rapide et de ses conséquences pour les denrées urbaines et la sécurité alimentaire, mettant en exergue les rôles spécifiques de la gestion et de l’utilisation durables des ressources naturelles dans l’évolution rapide de l’alimentation urbaine et de l’équation nutritionnelle en Afrique.
La crise alimentaire mondiale de 2008 a bien évidemment également touché l’Afrique de l’ouest et l’une de ses filières phares : le riz. Cette crise a incité les États et les institutions régionales à mettre en oeuvre des mesures visant à améliorer la production et l’offre locales de riz.
En matière de semences, on oppose souvent un modèle orienté vers le business à un modèle orienté vers l’agriculture paysanne. Ces deux modèles ont des implications socio-économiques différentes, aussi bien en termes d’emplois, que d’autonomie des agriculteurs ou de biodiversité. Les agricultures paysannes des pays du Sud ont-elles le poids et l’influence politique nécessaires pour faire prévaloir leurs modèles semenciers ? C’est la question que nous explorons dans ce dossier.