The Africa Leadership Training and Capacity Building Program (Africa Lead) aims to support the capacity building program of the US Government’s Feed the Future Initiative, which aligns U.S. Government development assistance with Africa-owned agriculture development plans that are, in turn, aligned with the African Union’s Comprehensive Africa Agriculture Development Program.
The Africa Leadership Training and Capacity Building Program (Africa Lead), aims to support the capacity building program of the US Government’s Feed the Future Initiative, which aligns U.S. Government development assistance with Africa-owned agriculture development plans that are, in turn, aligned with the African Union’s Comprehensive Africa Agriculture Development Program.
Bien que l’appui apporté aux communautés rurales en matière de renforcement de la vulgarisation et de conseil, ait fait l’objet de nombreux débats ces dernières années, l’on sait peu de choses sur la façon de renforcer les capacités nécessaires dans les services de vulgarisation et de conseil (SVC), et sur le rôle que ces services jouent dans le système d’innovation agricole (SIA).
Ce guide est principalement destiné aux membres des services opérationnels des organismes de développement internationaux et régionaux et des administrations nationales qui sont chargés de concevoir et d’exécuter des projets de financement, ainsi qu’aux praticiens qui conçoivent des programmes thématiques et des programmes d’assistance technique.
L'article propose d'utiliser le concept de sécurisation alimentaire pour étudier les actions et processus qui améliorent une situation alimentaire, plutôt que celui de sécurité alimentaire qui se réfère avant tout à la satisfaction de besoins alimentaires. Dans une première partie, ces deux concepts sont précisés et discutés. La sécurité alimentaire est caractérisée selon plusieurs dimensions : disponibilités, conditions d'accès, qualités des aliments, stabilité, mais aussi objectifs sociaux et politiques.
Les « modèles d’entreprises inclusives » ont fait l’objet d’un regain d’intérêt ces dernières années, dans le cadre de débats plus généraux concernant l’accroissement des investissements agricoles dans les pays à faible revenu. Ce rapport se penche sur les coentreprises dans le secteur agricole sud-africain. L’expérience de l’Afrique du Sud présente des caractéristiques propres liées à son histoire et à son récent programme de réforme agraire. Les bénéficiaires de la réforme agraire se sont embarqués dans diverses coentreprises avec des partenaires commerciaux.
L’agriculture est aujourd’hui interpellée par la société, qui exige bien plus qu’une simple production alimentaire : aliments de qualité, services environnementaux, insertion de populations marginalisées, revitalisation des territoires ruraux, habitabilité des milieux urbains, développement de productions énergétiques… Cette ouverture des futurs agricoles incite les acteurs ruraux à expérimenter de nouveaux systèmes de production et valorisation, faisant ainsi preuve de créativité et d’obstination pour exister face aux modèles de développement dominants.
Les politiques publiques en faveur du développement rural se matérialisent au travers d’instruments incitatifs, de règlements particuliers, ou encore par l’accompagnement des initiatives particulières. Ceux-ci répondent en général à la mise en place d’une stratégie nationale d’appui à une filière agricole. Dans le cas du quinoa cultivé au Chili, chaque région de production observe un développement propre.
La sécurité alimentaire en Algérie semble plus que menacée par un niveau de croissance démographique incontrôlé, par la dégradation des conditions physiques du secteur de l’agriculture, par la baisse des ressources hydriques et par le retard de développement technique de l’activité. À partir d’une revue bibliographique sur la situation actuelle du secteur agricole, le texte définit ses niveaux de développement et les défis de l’avenir auxquels ce secteur sera confronté.
Uno de los problemas básicos que presenta el estudio y el análisis de la gobernanza de los Sistemas Agroalimentarios Localizados (Sial), consiste en la ausencia o debilidad de los indicadores. Uno de los pocos intentos que se han hecho en este sentido, es el realizado por Gómez, Boucher y Desjardins (2006) al tratar de analizar varios Sial en Colombia. Esta ponencia se propone identificar las dimensiones y acciones de gobernanza territorial.