This study introduces a framework for managing information flow in innovation systems. An organisation's capacity to receive information, to share it with others and to learn from it is assumed to be the key factor that shapes the flow patterns and, hence, the performance of the innovation system concerned. The framework is applied to characterise the information structure underlying the agricultural innovation system of Azerbaijan and to develop an information strategy for the system to accelerate the information flow.
Dans plusieurs domaines des sciences sociales et humaines (éducation, communication, travail social, économie sociale, médecine communautaire, technologie rurale, et pratiques politiques et syndicales, entre autres), et même dans les sciences dites « dures », la recherche appartient de moins en moins à un monde à part de spécialistes éloignés du terrain. Ce type de recherches – recherche participative, recherche-action, recherche collaborative, recherche-formation – se caractérise par un processus de production des connaissances effectué de concert avec les acteurs de terrain.
Au Brésil, la diffusion du modèle de gestion intégrée des ressources en eau varie fortement selon l’environnement socio-territorial. Le Sud présente un dynamisme certain s’appuyant sur des initiatives locales. Les acteurs locaux sont organisés en comité de bassin et développent des actions pour améliorer la gestion des ressources. Dans le Nordeste, la marche vers ces nouveaux modes de gestion paraît difficile tant les inerties sociales et culturelles freinent un partage réel du pouvoir, des ressources et des coûts.
This article examines differences in the research approaches of farmers and scientists and analyzes how these differences are related to the conditions under which both groups engage in experimental work. Theoretical considerations as well as practical experiences are presented to emphasize the great potential of farmer–researcher collaboration for rural innovation.
In-depth analysis of the role and capacity development needs of farmers organization in innovation processes, using the evidence from a number of case studies from contemporary SSA agriculture. Experiences indicate that Farmers’organizations (FOs) can play an important role in sharing knowledge-for-innovation by initiating multi-actor platforms for interactive learning and by implementing joint activity programmes (including use of the media) with extension services on a cost-sharing basis.
This paper (Part II) presents work to develop a network diagnosis tool for stakeholders involved in agricultural supply chains in Bolivia. It is complemented by a further paper (Part I) by Boru Douthwaite and colleagues in the same issue of this journal which presents a case study of work conducted by the International Centre for Tropical Agriculture (CIAT). The prototype methods used in both Parts I and II are based on social network analysis (SNA) methodology.
Les partisans de la souveraineté alimentaire veulent développer les agricultures locales, tandis que les avocats de la libéralisation vantent les bienfaits d’un approvisionnement à moindre coût sur les marchés. Les premiers pensent que les Etats doivent définir leur politique agricole pour répondre aux besoins de leurs populations, les seconds préfèrent le concept de « sécurité alimentaire », affirmant qu’il reconnaît aussi à chaque citoyen le droit de se nourrir à sa faim. Le combat pour la souveraineté a du mal à s’imposer dans l’arène politique.
Le développement de l'agriculture organique au Brésil prend des formes multiples. Au travers de leur expérience de l'AO, dans une communauté proche de trois métropoles, de petits maraîchers d'Ibiúna (São Paulo) créent des entités collectives et expérimentent de nouvelles pratiques sociales.
Depuis plusieurs décennies, les pays de l’Afrique de l’Ouest se sont investis dans le développement et la diffusion des innovations agricoles dans le but d’accroître la productivité agricole et la production vivrière en particulier. Plusieurs mécanismes et approches ont été développés à cet effet en vue d’une utilisation efficace de ces innovations agricoles par les producteurs.
Communication is essential to making biotechnology and genomics relevant to developing countries and poor people. Few would disagree with that. But many are sceptical about public relations efforts to impose inappropriate technological ‘solutions’ on developing countries. This paper is a partial reflection on how PR and advocacy ‘mixes’ can be understood and whether they can be useful to innovation in developing country contexts.