L’alimentation en eau et la protection des milieux aquatiques sont confrontées aux pollutions diffuses d’origine agricole dans le nord-ouest de la France. Les politiques de gestion des ressources en eau s’appuient à présent sur la participation des agriculteurs afin de concevoir des solutions adaptées aux territoires. En effet, si la réglementation est nécessaire, elle n’est pas suffisante pour atteindre une qualité satisfaisante sur de nombreux bassins versants fortement pollués par les nitrates, le phosphore ou les produits phytosanitaires.
Dans le contexte de crise économique et environnementale qui touche la filière banane à la Guadeloupe, l'objectif de cette contribution est d'engager une réflexion sur l'organisation d'acteurs à l'origine des innovations agro-écologiques. Nous interrogeons les dynamiques d’acteurs face aux crises et perturbations qui touchent l'agriculture antillaise, par le biais de l'organisation qu'ils mettent en place pour accompagner le changement.
Depuis plusieurs décennies, la canne et la banane, monocultures fortement dépendantes des intrants, façonnent le paysage guadeloupéen de manière binaire : canne au Nord et banane au Sud. Depuis quelques années la production de bananes est dans une situation difficile avec l’évolution rapide du cadre régle- mentaire et du fonctionnement du marché de la banane. Les planteurs et les organisations agricoles doivent réfléchir à une nouvelle orientation des itinéraires techniques conventionnels.
L’agriculture française fait l’objet de critiques du fait des pressions qu’elle exerce sur les ressources naturelles, des transformations qu’elle opère sur les paysages et de la qualité parfois contestée de ses productions. Face aux attentes sociales et aux pressions réglementaires, des agriculteurs ont choisi de s’organiser en réseau pour proposer des pratiques agricoles alternatives. Une véritable dynamique est en œuvre chez ces agriculteurs minoritaires qui cherchent à diffuser leurs expériences en créant de nouveaux liens au sein de la population agricole.
La agricultura de América Latina y el Caribe (ALC) se enfrenta a una oportunidad global sin precedentes: satisfacer los patrones de consumo diferenciados y de mayor calidad de 7000 millones de personas en la actualidad y de no menos 9000 millones para el 2050. A esta oportunidad se suma el valor que le brinda la agricultura a las poblaciones rurales, no solo como su fuente alimentaria, sino también como su única o primordial fuente de ingresos. Y son los territorios rurales precisamente los llamados a prepararse, adaptarse y asumir el reto de alimentar al mundo.
The devastation caused in Philippines by Typhoon Reming was the trigger for the Government request to FAO for the project “Strengthening Capacities for Climate Risk Management and Disaster Preparedness in Selected Provinces of the Philippines (Bicol Region)”. This technical project summary report provides a consolidated overview about the specific project activities, the implementation processes, main findings and the establishment of institutional mechanisms that were established to promote ongoing collaboration between farmers, agriculture extension workers, researchers and local governme
The Philippines is one of the most disaster-prone countries worldwide. Bicol Region is regularly exposed to a variety of natural hazards including tropical storms, typhoons, droughts, drought spells, flash floods, floods, landslides and volcano eruptions, causing frequent destruction, damage and losses. Agriculture is among the most vulnerable sectors to extreme weather events and changing climate. People depending on agriculture are regularly facing the challenge to protect and maintain their livelihoods.
This paper, part of the Social Sciences Working Paper Series, presents studies undertaken by nine community-based, natural resource management (CBNRM)-oriented organizations in China, Viet Nam, the Philippines and Mongolia. The partner organizations, representing three broad types: academic, regional network, and community based, were brought together by a 2006 initiative in an informal network to develop and pilot methods for evaluating capacity development in community-based natural resource management.
This paper examines different practical methods for stakeholders to analyse power dynamics in multi-stakeholders processes (MSPs), taking into account the ambiguous and uncertain nature of complex adaptive systems. It reflects on an action learning programme which focused on 12 cases in Africa and Asia put forward by 6 Dutch development non-governmental organizations (NGOs).
This publication is a product of learning and sharing events supported by IFAD and its partner institutions. Presented in this publication are nine cases of development innovations selected from the IFAD country programme in the Philippines. These cases, selected and largely written by practitioners based on their experiences, reflect scaling up initiatives at different stages of maturity.