Les systèmes semenciers paysans nourrissent le monde et font preuve de résilience face aux catastrophes naturelles. Cependant, ils sont menacés par l’emprise croissante des entreprises sur la nature et par l’accélération de la destruction de la biodiversité agricole. De plus en plus, les sociétés des semences et de l’agrochimie cherchent à privatiser, monopoliser et contrôler les semences en déposant des brevets et en encourageant la marchandisation de la source même de la vie.
Le projet agro-écologique porte une ambition claire : dépasser les oppositions autour de la question du modèle de croissance de notre agriculture et inscrire l’évolution de notre agriculture et des filières agricoles et agroalimentaires dans un cadre tourné vers l’avenir et adapté aux nombreux défis que nous devons relever. Cette approche est d’autant plus nécessaire qu’il n’existe plus, de fait, de modèle unique d’exploitations ; celles-ci sont très diversifiées et de moins en moins semblables les unes aux autres. L’agro-écologie est un véritable projet pour l’agriculture.
2015 a été une année marquante pour l’avenir de la planète et donc pour l’avenir de chaque femme, chaque homme, chaque enfant, fille ou garçon, aux quatre coins du monde. Deux événements importants – le Sommet des Nations Unies sur le développement durable 2015 et la COP21, sur le développement et le changement climatique, ont donné lieu à des engagements concrets et sans précédent à l’échelle mondiale pour éradiquer la pauvreté d’ici à 2030 et promouvoir la protection de l’environnement.
Dans le cadre d’un programme financé par l’Union Européenne, les ONG GLOPOLIS, SOS FAIM et VECO et leurs partenaires paysans concernés ont mené plusieurs études sur les filières de production de riz dans 5 pays d’Afrique de l’ouest : le Bénin, le Burkina Faso, le Mali, le Niger et le Sénégal.
Depuis une dizaine d’années, SOS Faim développe avec ses partenaires latino-américains, une nouvelle stratégie pour endiguer la pauvreté rurale : le développement territorial rural (DTR). On peut définir le DTR comme étant une dynamique d’animation et de concertation entre acteurs publics et privés (entre autres les Organisations Paysannes) sur un territoire donné, en vue d’améliorer durablement les conditions économiques et sociales de sa population.
Este documento trae herramientas de desarrollo de capacidades enfocadas en la abordaje territorial. Describe el caso de 25 municipios de Alta Verapaz, Baja Verapaz y Chimaltenango, Guatemala.
Este manual describe una detallada metodología para implementar las Escuelas De Campo. Empieza con los Principios básicos de las Escuelas de Campo,describe los métodos de selección y organización de los grupos de productores y del sitio de aprendizaje. Trata de la elaboración del plan de acción a desarrollar de forma participativa, El d esarrollo de las Escuelas de Campo, como presentar los logros y graduación y al final describe planes de Seguimiento y evaluación.
El presente trabajo se sustenta en la necesidad de la Asociación Empresas B Costa Rica de desarrollar un proceso de planificación estratégica, que le permita adaptar a la realidad nacional el marco estratégico adoptado, y en base a este definir su propio plan. La planificación estratégica de la asociación debe garantizar que se conserva la esencia del movimiento e igualmente se adapta a las condiciones locales.
These toolkit aims to enhance stakeholders' understanding of the need to integrate gender in an Innovation Platform, the rationale for doing so and how to do. This toolkit is a guide for mainstreaming gender issues and develop and innovative platform in order to discuss and overcome this issues in an agricultural context.
The Livestock and Irrigation Value Chains for Ethiopian Smallholders (LIVES) project supports the efforts of the GoE to transform the smallholder agriculture sector to a more market-oriented sector. LIVES uses a value chain framework to develop targeted livestock and irrigated agriculture commodities through integrated technical and institutional innovations. Such a framework recognizes that value chain actors add value at different stages of the value chain and that individuals and organizations provide inputs and services to the value chain actors.