Les systèmes semenciers paysans nourrissent le monde et font preuve de résilience face aux catastrophes naturelles. Cependant, ils sont menacés par l’emprise croissante des entreprises sur la nature et par l’accélération de la destruction de la biodiversité agricole. De plus en plus, les sociétés des semences et de l’agrochimie cherchent à privatiser, monopoliser et contrôler les semences en déposant des brevets et en encourageant la marchandisation de la source même de la vie.
Le projet agro-écologique porte une ambition claire : dépasser les oppositions autour de la question du modèle de croissance de notre agriculture et inscrire l’évolution de notre agriculture et des filières agricoles et agroalimentaires dans un cadre tourné vers l’avenir et adapté aux nombreux défis que nous devons relever. Cette approche est d’autant plus nécessaire qu’il n’existe plus, de fait, de modèle unique d’exploitations ; celles-ci sont très diversifiées et de moins en moins semblables les unes aux autres. L’agro-écologie est un véritable projet pour l’agriculture.
2015 a été une année marquante pour l’avenir de la planète et donc pour l’avenir de chaque femme, chaque homme, chaque enfant, fille ou garçon, aux quatre coins du monde. Deux événements importants – le Sommet des Nations Unies sur le développement durable 2015 et la COP21, sur le développement et le changement climatique, ont donné lieu à des engagements concrets et sans précédent à l’échelle mondiale pour éradiquer la pauvreté d’ici à 2030 et promouvoir la protection de l’environnement.
La plupart des personnes pauvres et qui souffrent de la faim, dans le monde, sont des ruraux qui tirent un maigre revenu de l’agriculture. En 2010, sur les 1,2 milliard de personnes extrêmement pauvres, quelque 900 millions vivait en milieu rural. Environ 750 millions de ces personnes travaillaient dans l’agriculture, généralement comme petits exploitants familiaux (Olinto et al., 2013). On estime que 200 millions de ruraux pauvres pourraient émigrer vers les villes ces 15 prochaines années, mais la plupart d’entre eux resteront toutefois à la campagne.
Dans le cadre d’un programme financé par l’Union Européenne, les ONG GLOPOLIS, SOS FAIM et VECO et leurs partenaires paysans concernés ont mené plusieurs études sur les filières de production de riz dans 5 pays d’Afrique de l’ouest : le Bénin, le Burkina Faso, le Mali, le Niger et le Sénégal.
Depuis une dizaine d’années, SOS Faim développe avec ses partenaires latino-américains, une nouvelle stratégie pour endiguer la pauvreté rurale : le développement territorial rural (DTR). On peut définir le DTR comme étant une dynamique d’animation et de concertation entre acteurs publics et privés (entre autres les Organisations Paysannes) sur un territoire donné, en vue d’améliorer durablement les conditions économiques et sociales de sa population.
Este libro busca difundir las lecciones aprendidas y experiencia ganada con este proceso y promover y facilitar la integración y participación de actores locales (organizaciones, asociaciones, cooperativas, familias productoras, etc.) presentes, no solo en los territorios, municipios y comunidades, sino también a nivel nacional.
Esta tesis busca analizar el sector apícola de las provincias de Puntarenas y Guanacaste, desde el ámbito socioeconómico y de cadenas de valor como base para determinar la viabilidad en la creación de una NAMA miel en Costa Rica.
Esta presentación es parte del Kit de Aprendizaje del Nuevo Extensionista (New Extensionist Learning Kit NELK) desarrolado por GFARS. En esta primera unidad la presentación comenta las tendencias observadas en el sector rural con un enfoque en la globalización y la necesidad de pluralismo, también discute el desarrollo de los SIA para enfrentar los cambios en el contexto rural, y los tipos de proveedores de los SEA (Servicios de extensión agrícola) y sus roles.
Este libro hace parte del Kit de Aprendizaje del Nuevo Extensionista (New Extensionist Learning Kit NELK) desarrolado por GFARS. En esta primera unidad son discutidos los fundamentos del nuevo extensionista frente a los cambios de la agricultura rural. El rol de la extensión en los sistemas de información agrícola así como las capacidades y competencias necesárias para el "Nuevo Extensionista"