L' étude de la Banque Mondiale a identifié des mesures d’atténuation pouvant apporter des solutions à court et à long termes aux problèmes du secteur agricole du Niger. Il s’agit, notamment de :
l’utilisation de variétés à haut rendement résistantes à la sécheresse,
l’application de techniques de CES/DRS et de gestion des ressources naturelles,
l’extension des surfaces sous irrigation,
la lutte préventive contre les criquets pèlerins,
Dans le besoin urgent de lutter contre le changement climatique, une priorité essentielle est de renforcer la capacité de ces groupes et communautés les plus vulnérables, et déjà fortement affectés, à améliorer leur capacité à adapter leurs systèmes de subsistance.
La capacité de la région Proche-Orient et Afrique du Nord à réaliser des avancées majeures dans la concrétisation du deuxième Objectif de développement durable (ODD 2) dépendra, dans une large mesure, de la gestion durable des ressources en eau pour l’agriculture et de l’adaptation au changement climatique. La transformation agricole dans cette partie du monde a suivi une trajectoire particulière ayant conduit à un déséquilibre entre le développement agricole rural et urbain, qui se manifeste de manière très visible dans les systèmes de production alimentaire.
Des changements dans les agendas des politiques publiques des Comités Nationaux de l’Agriculture Familiale des Philippines, du Honduras, du Burkina Faso et du Sénégal seront soutenus techniquement et économiquement. La création d’un nouveau Comité au Tchad sera également appuyée.
Ce document d’orientation reprend les enseignements tirés d’un examen approfondi des publications relatives aux systèmes d’innovation des petits exploitants agricoles et d’une consultation d’experts sur le même thème, organisée pendant deux jours à Genève par le Bureau Quaker auprès des Nations Unies (QUNO) en mai 2015.
Les Champs-Ecoles des Producteurs (CEP) sont une approche d’apprentissage participatif utilisée dans de nombreux différents contextes à travers le monde. Un CEP rassemble un groupe d'agriculteurs, d'éleveurs ou de pêcheurs, dans le but d’apprendre à s'orienter vers des pratiques de production plus durables. C’est un espace d’apprentissage collectif et concret, qui permet aux populations locales d'améliorer leurs compétences en matière d'analyse critique et de prise de décisions.
Ce manuel est destiné aux formateurs des organisations paysannes (OP) et à leurs membres en Afrique sub-saharienne. Le but étant de fournir une formation sur les techniques et opérations après-récolte afin d’améliorer la qualité des grains et ainsi de permettre l’augmentation des revenus et l’amélioration de la sécurité alimentaire des agriculteurs participants au programme. Dans le passé, les formations sur les opérations après-récolte n’ont pas été normalisées entre les différents pays membres du programme P4P.
En matière de semences, on oppose souvent un modèle orienté vers le business à un modèle orienté vers l’agriculture paysanne. Ces deux modèles ont des implications socio-économiques différentes, aussi bien en termes d’emplois, que d’autonomie des agriculteurs ou de biodiversité. Les agricultures paysannes des pays du Sud ont-elles le poids et l’influence politique nécessaires pour faire prévaloir leurs modèles semenciers ? C’est la question que nous explorons dans ce dossier.
Recently, Agricultural Knowledge and Innovation Systems (AKISs) have gained considerable attention in scientific and political forums in the European Union (EU). AKIS is considered a key concept in identifying, analysing and assessing the various actors in the agricultural sector as well as their communication and interaction for innovation processes. Using qualitative expert interviews and organizational mapping, the features of national AKISs were investigated in selected EU member states (Belgium, France, Ireland, Germany, Portugal and the UK).
Nouvel instrument communautaire mobilisant la politique de recherche et la PAC, le PEI entend susciter des partenariats entre les acteurs du développement, de l’enseignement agricole, les agriculteurs, les chercheurs et les entreprises. En cela, il reflète l’évolution récente du cadre de pensée des institutions internationales, qui voient dans l’innovation agricole moins le produit de la recherche et du transfert de connaissances que le résultat d’interactions entre acteurs au sein de réseaux plus ou moins formels.