La reciente y continua volatilidad en los precios de los alimentos ha hecho tomar conciencia de la importancia de la Agricultura Urbana y Periurbana (AUP) como un importante recurso de la seguridad alimentaria y nutricional, tanto en términos del suministro de alimentos, como de generación de empleo e ingresos para la población de bajos recursos y por su contribución al equilibrio del desarrollo nacional y a un ambiente urbano más vivible.
La nouvelle édition annuelle de Défis Sud propose un regard sur les agricultures, avec des faits, des chiffres et des prévisions. Face à l’augmentation de la population, au réchauffement climatique et à la perte de ressources naturelles, les solutions proposées pour répondre au défi de la sécurité alimentaire mondiale devraient davantage miser sur l’agriculture familiale et l’agroécologie.
La publication de ce numéro double consacré à l’agriculture familiale marque un tournant de l’histoire de la revue Défis Sud. Depuis vingt ans, votre revue a resserré son projet éditorial sur les questions agricoles et de développement rural.
Ces dernières années, une « ruée vers les terres » a privé une multitude de petits producteurs du Sud de leur surface agricole. Depuis l’an 2000, plus de 1 600 transactions foncières portant sur quelque 60 millions d’hectares ont été enregistrées.
Aujourd’hui, l’agriculture familiale fait preuve de dynamisme. Pour prouver qu’elle est un modèle à défendre, il faut convaincre les États de mener des politiques volontaristes et souveraines de rénovation de l’agriculture. Une politique efficace devra identifier les forces et les faiblesses de l’agriculture familiale, lutter contre l’accaparement des terres, encourager les jeunes paysans et les paysannes. Prendre en compte les différentes dimensions de l’agriculture familiale est nécessaire pour mener à une transformation efficace.
L’agriculture a été au centre des préoccupations des différents régimes politiques du Burkina Faso, ce pays sahélien enclavé qui vit essentiellement de l’agriculture, pratiquée par 86 % de sa population active. Après 50 ans d’indépendance, les politiques et réformes mises en oeuvre n’ont pas produit tous les effets escomptés. Certes, elles ont buté sur des obstacles comme la démographie galopante, les aléas climatiques ainsi que l’analphabétisme du monde rural. Mais la plus grande difficulté a été, pendant des années, l’absence d’une vision claire.
En 2006, un rapport de la FAO pointait du doigt l’élevage comme l’un des principaux responsables du réchauffement climatique. Si la viande semble donc bien sur le gril, faut-il pour autant tous devenir végétariens ? Dans les pays du Sud, l’élevage a une grande importance socio-économique. L’élevage est la ressource principale pour plus d’un milliard de paysans pauvres. C’est essentiellement le Nord, avec en moyenne 80kg de viande consommée par habitant et par an, qui contribue aux 18 % d’émissions de gaz à effet de serre dues à l’élevage.
El 5 de mayo de 2018, la Asociación para el Desarrollo Integral del Altiplano se estableció formalmente, y los agricultores de aguacate celebraron. “Hoy, estamos muy contentos de haber consolidado nuestro consorcio de ocho asociaciones de productores de diferentes municipios de Sololá”, explica Don Andrés, líder de la comunidad y agricultor de por vida. “Los agricultores de San Andrés Semetabaj y otras comunidades alrededor del Lago de Atitlán comenzaron a hablar sobre el cultivo de una nueva variedad de aguacate hace algún tiempo.
On 5 May 2018, the Association for Integrated Development of the Altiplano became formally established, and avocado farmers celebrated. “Today, we are so happy to have consolidated our consortium of eight producer associations from different municipalities in Sololá” explains Don Andrés, community leader and lifelong farmer. “Farmers from San Andrés Semetabaj and other communities around Lake Atitlán began to talk about growing a new variety of avocado some time ago. But since the CDAIS project came, so many things have changed.
Descendu des hauts plateaux andins pour arriver dans nos assiettes, le quinoa est entré dans le jeu économique où l’offre, la demande et le prix forment un cadre triangulaire aux paradoxes multiples.