Le présent texte analyse la trajectoire du mouvement alternatif ou écologique dans l’agriculture, en prenant comme référence des données et des informations provenant d’études réalisées au Brésil. Cette analyse privilégie les aspects liés à l’origine, à l’expansion et à l’institutionnalisation de l’agriculture écologique.
En étudiant les apprentissages produits par la mise en place des contrats territoriaux d’exploitation (CTE) puis des contrats d’agriculture durable (CAD) à l’île de la Réunion, nous montrons de quelle manière ces outils ont impulsé les prémices d’une agriculture durable dont nous pensons que les apprentissages sont une composante essentielle. Notre travail s’appuie sur des entretiens avec les acteurs du développement rural, techniciens des organisations de développement notamment.
Depuis plusieurs décennies, la canne et la banane, monocultures fortement dépendantes des intrants, façonnent le paysage guadeloupéen de manière binaire : canne au Nord et banane au Sud. Depuis quelques années la production de bananes est dans une situation difficile avec l’évolution rapide du cadre régle- mentaire et du fonctionnement du marché de la banane. Les planteurs et les organisations agricoles doivent réfléchir à une nouvelle orientation des itinéraires techniques conventionnels.
Des réformes institutionnelles ont autorisé la liberté d’association dans les pays du Maghreb. L’émergence et/ou l’essor d’un réseau ramifié d’organisations offertes par ces nouvelles politiques de développement rural ont multiplié les possibilités d’action autonome des acteurs sociaux dans la vie locale.
La remise en cause d'un modèle moderniste et productiviste en agriculture, bâti sur le développement des sciences et des techniques, se traduit par l'éclosion de formes originales de pratiques et de collectifs.
El concepto de desarrollo sostenible (DS) tiene como punto de referencia el Informe de la Comisión Bruntland, donde se le describe como un “proceso capaz de satisfacer las necesidades de las generaciones presentes sin comprometer la capacidad de las generaciones futuras de satisfacer las suyas” (ONU,1987). Desde esa perspectiva, el desarrollo económico y el uso racional de los recursos naturales están inexorablemente unidos en el tiempo y el espacio.
Tradicionalmente en Paraguay el fin exclusivo de la producción agrícola había sido la alimentación humana y animal, pero este país ha incursionado en la producción de materias primas a partir de cultivos para la obtención de combustibles de origen biológico, el consumo de combustibles fósiles y la eventual mezcla con los derivados de petróleo. Los datos incluidos en este artículo contribuyen a un posterior estudio sobre los posibles efectos de su uso en distintas proporciones de rubros agrícolas de consumo humano y animal para la producción de biocombustibles a nivel nacional.
Este trabajo reúne cuatro profundos estudios sobre cuestiones estratégicas del sector agropecuario, los alimentos y la agroenergía en el país, a partir de una mirada detallada del escenario internacional y el lugar de la Argentina en él. El momento de su lanzamiento no podría ser más oportuno. Hoy el mundo, y con él la Argentina, enfrentan el desafío de satisfacer la demanda creciente de alimentos y, al mismo tiempo, garantizar su acceso a cada vez más personas, sin poner en riesgo el desarrollo sustentable ni la seguridad energética.
À partir d’une expérience de valorisation d’un produit par l’origine, la viande de bœuf produite dans les prairies de la Pampa brésilienne, notre article propose d’analyser la capacité des acteurs locaux à élaborer et mettre en œuvre des dispositifs, leur permettant de répondre aux enjeux du développement durable.
La conférence sur « Agriculture écologique : atténuer le changement climatique, assurer la sécurité alimentaire et l’autonomie pour les sources de revenus ruraux en Afrique » s’est tenue à Addis – Abéba (Ethiopie) du 26 au 28 novembre 2008.