Le projet agro-écologique porte une ambition claire : dépasser les oppositions autour de la question du modèle de croissance de notre agriculture et inscrire l’évolution de notre agriculture et des filières agricoles et agroalimentaires dans un cadre tourné vers l’avenir et adapté aux nombreux défis que nous devons relever. Cette approche est d’autant plus nécessaire qu’il n’existe plus, de fait, de modèle unique d’exploitations ; celles-ci sont très diversifiées et de moins en moins semblables les unes aux autres. L’agro-écologie est un véritable projet pour l’agriculture.
La plupart des personnes pauvres et qui souffrent de la faim, dans le monde, sont des ruraux qui tirent un maigre revenu de l’agriculture. En 2010, sur les 1,2 milliard de personnes extrêmement pauvres, quelque 900 millions vivait en milieu rural. Environ 750 millions de ces personnes travaillaient dans l’agriculture, généralement comme petits exploitants familiaux (Olinto et al., 2013). On estime que 200 millions de ruraux pauvres pourraient émigrer vers les villes ces 15 prochaines années, mais la plupart d’entre eux resteront toutefois à la campagne.
Au niveau familial, l’émigration constitue souvent une recherche de revenus, de sécurité, mais aussi une manière de faire face à des problèmes socio-politiques et des conflits. A l’encontre des clichés, l’émigration n’est pas forcément défavorable à l’agriculture familiale.
Postharvest loss exacerbates the food insecurity and welfare loss of farming households in developing countries. This paper analyses the effect of improved storage, a climate-smart crop management technology, on household food and nutrition security, market participation and welfare using nationally representative data from Ethiopia. Endogenous switching regression models are employed to control for selection bias and unobserved heterogeneity.
La population mondiale atteindra probablement les neuf milliards de personnes d’ici le milieu du siècle. Selon les estimations de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), il faudrait augmenter la production alimentaire de 60 pour cent pour les nourrir. Ces produits alimentaires supplémentaires devraient dans l’idéal être produits là où ils sont censés être consommés, c’està-dire dans les pays en développement. Pour y parvenir, ces pays doivent augmenter sensiblement leur production.
The Asia-Pacific Association of Agricultural Research Institutions (APAARI) in collaboration with the Australian Centre for International Agricultural Research (ACIAR), Department of Agriculture (DOA), Thailand, Food and Agriculture Organization of the United Nations – Regional Office for Asia and the Pacific (FAO RAP), Global Forum on Agricultural Research (GFAR) and International Food Policy Research Institute (IFPRI), organized a High Level Policy Dialogue (HLPD) on Investment in Agricultural Research for Sustainable Development in Asia and the Pacific on 8-9 December 2015 in Bangkok, Th
The 2016 Global Agricultural Productivity Report advocates policies and innovations in five key areas to help the agriculture and food sectors manage uncertain seasons of fluctuating business cycles and climate change, while fostering competitiveness today and sustainable growth tomorrow.
This publication comprises 24 full papers/abstracts presented at the “High Level Policy Dialogue on Investment in Agricultural Research for Sustainable Development in Asia and the Pacific” (Bangkok, 8-9 December 2015).
Esta publicación producida por FONTAGRO, con el apoyo del Fondo para el Medio Ambiente Mundial y nuestros patrocinadores, reúne un conjunto de conocimientos y experiencias a partir de once casos exitosos que muestran cómo los agricultores, trabajando de forma participativa, han adoptado tecnologías que mejoraron de forma concreta la calidad de vida de sus familias y de la región.
Cette publication produite par FONTAGRO, avec le soutien du Fonds pour l’environnement mondial et de nos partenaires, recueille l’ensemble des connaissances et des expériences à partir de onze cas de réussite qui montrent comment les agriculteurs, travaillant de façon bparticipative ont adopté des technologies qui ont amélioré de manière concrète la qualité de vie de leurs familles et dans la région.