A platform of farmers, retailers and service providers, civil society organisations, NGOs, government officials, and researchers improves livelihoods in Rwanda. Through interaction and collaboration, these groups experiment with various technological and institutional innovations, thereby tackling local agricultural challenges. This experience illustrates the importance of institutionalising a space where knowledge can be co-created
Objective
The association between farm production diversity and dietary diversity in rural smallholder households was recently analysed. Most existing studies build on household-level dietary diversity indicators calculated from 7d food consumption recalls. Herein, this association is revisited with individual-level 24 h recall data. The robustness of the results is tested by comparing household- and individual-level estimates. The role of other factors that may influence dietary diversity, such as market access and agricultural technology, is also analysed.
Agriculture continues to be the backbone of the economy of Rwanda contributing more than a third of the country’s GDP. The government of Rwanda with collaboration of researchers and its population has to stress on policies and projects to stimulate productivity as they are many corners in agriculture sector to be improved. Bolstering the livelihoods in developing countries is feasible through maintenance of food sovereignty and safety by increasing productivity.
Postharvest loss exacerbates the food insecurity and welfare loss of farming households in developing countries. This paper analyses the effect of improved storage, a climate-smart crop management technology, on household food and nutrition security, market participation and welfare using nationally representative data from Ethiopia. Endogenous switching regression models are employed to control for selection bias and unobserved heterogeneity.
The goal is to improve capacity for joint innovation, and strengthen this capacity at partnership, organizational and institutional/policy level, through an iterative process with the different stakeholders involved i.e. action and reflection, consolidation of lessons learned and re-planning. Preparatory actions must be well coordinated to ensure success and continuity of the CDAIS project.”
Flyer on CDAIS in Angola: seeds cooperative, rural entrepreneurship and rice development.
La population mondiale atteindra probablement les neuf milliards de personnes d’ici le milieu du siècle. Selon les estimations de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), il faudrait augmenter la production alimentaire de 60 pour cent pour les nourrir. Ces produits alimentaires supplémentaires devraient dans l’idéal être produits là où ils sont censés être consommés, c’està-dire dans les pays en développement. Pour y parvenir, ces pays doivent augmenter sensiblement leur production.
Pour parvenir à la sécurité alimentaire et réduire la pauvreté, les emplois décents sont essentiels. Souvent, dans les communautés rurales pauvres du monde entier, les hommes et les femmes sont entièrement tributaires de leur travail, qui est leur seule source de revenu, mais les emplois sont très précaires, peu rémunérés et les conditions de travail, parfois dangereuses. Plus de 85 pour cent des jeunes, soit environ 24 pour cent des travailleurs pauvres, vivent dans des pays en développement.
Ce document met en évidence les enseignements tirés de la constitution de consortiums appuyés par PAEPARD, qui illustrent les différents impacts de la médiation. Les conclusions et recommandations préliminaires peuvent sembler évidentes à première vue, mais seront utiles pour informer de la mise en œuvre des activités de courtage jusqu'à la fin des activités de PAEPARD en décembre 2017.
Les pays du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest sont confrontés à une dégradation continue et alarmante des ressources naturelles causée essentiellement par la pression des actions anthropiques sur l'environnement. Parmi ces ressources en dégradation, figurent en bonne place les terres. La dégradation des terres n’est pas seulement un problème sous régional, mais aussi un défi mondial. La communauté internationale s’est donc mobilisée à travers plusieurs mécanismes pour accompagner les efforts menés par les pays affectés.