La revisión que se hace en este artículo aborda intereses de tres investigadores quienes, preocupados por analizar los sentidos de la dimensión ambiental y la institucionalidad, deciden hacer algunos aportes frente al desarrollo de capacidades sociales en lo que implicaría la consolidación del desarrollo local, particularmente, en aquellos territorios en los que ésta presenta una crisis, no sólo en sus ecosistemas, sino en la gestión institucional para protegerlos y evitar daños irreparables.
El objetivo del trabajo es realizar un análisis de los diversos procesos de innovación en la producción local integrada de alimentos y energía en el medio rural cubano en el contexto del proyecto Biomas-Cuba. Para la identificación y la valoración del proceso de innovación local en la producción integrada de alimento y energía (PIAE), se establecieron tres preguntas: 1) ¿qué procesos de innovación se han desarrollado o introducido?, 2) ¿en qué ha consistido la vinculación?, y 3) ¿cuáles han sido los aprendizajes clave?
El presente trabajo pone en relevancia la promoción del diseño y gestión de innovaciones tecnológicas para la resolución de problemáticas socio-productivas locales. Desde una visión de innovación, que intenta superar la óptica exclusivamente económica, se toma como caso paradigmático una experiencia de producción de hábitat desarrollada en la localidad de Concordia (Entre Ríos, Argentina). La misma, desarrolla colectivamente una tecnología asociada a sistemas constructivos en madera, con el fin de promover procesos productivos sustentables a partir de recursos y saberes locales.
El cambio climático afectará la distribución, productividad y rentabilidad del cultivo de café en América Central, perjudicando las economías nacionales y los medios de vida de los pequeños productores. Es necesario entender cómo el cambio climático está afectando a los pequeños caficultores en la región para promover medidas que permitan enfrentar estos cambios y adaptarse a ellos.
L'agriculture intelligente face au climat (climate-smart agriculture – CSA) a comme objectifs d'être adaptée au changement climatique et de l'atténuer, tout en contribuant de manière durable à la sécurité alimentaire. Né en 2010 à l'initiative de la FAO, le concept a fait école et se décline désormais en diverses pratiques qui prennent en compte ces objectifs de manière différente. Les pratiques agroécologiques de couverture permanente du sol, par des arbres ou des cultures, sont parmi les plus courantes.
Méthodologie: suivant une démarche préventive, notre travail s’intéresse aux conséquences nutritionnelles liées à la santé et représentant un facteur de changement climatique influant sur l’efficience des politiques préventives mises en œuvre.
La notion de service écosystémique est devenue incontournable dans les discours institutionnels et académiques en dépit des controverses et des critiques. Initialement portée par les acteurs de la conservation de la biodiversité, elle connaît depuis plusieurs années un déploiement dans les milieux agricoles. Si l’idée selon laquelle les fonctionnalités des écosystèmes sont déterminantes dans la production agricole n’est pas nouvelle, cette notion permet de mettre en évidence les nouveaux enjeux liés aux changements climatiques et aux besoins alimentaires croissants.
La Tunisie cherche à réorienter ses politiques d'Aménagement et de conservation des eaux et des sols (ACES) afin qu'elles gagnent en efficacité, en s'appuyant sur des démarches participatives innovantes. Cette orientation s'inscrit dans des contextes ruraux souvent peu documentés où la dimension environnementale nécessite d'être objectivée. De plus, il existe peu d'espaces de dialogue et de concertation entre les principales catégories d'acteurs des espaces ruraux concernés.
Le renforcement des capacités à innover apparaît comme un nouveau moyen pour assurer un développement durable dans les pays du Sud. Dans le secteur de l'agriculture, l'innovation est essentiellement collective, ce qui appelle les chercheurs à sortir de leur rôle de producteurs de connaissances pour s'engager auprès des acteurs en situation d'innovation. Si une diversité de pratiques de recherche engagée sont apparues, il n'existe cependant pas aujourd'hui une vision claire des différentes façons dont les chercheurs contribuent à l'innovation.
L’évaluation participative repose sur le principe d’une participation active des principales parties prenantes (dont les groupes les moins organisés) à l’exercice d’évaluation. Cette démarche présente un certain nombre d’atouts qui peuvent se transformer en limites quasi rédhibitoires si certains préalables ne sont pas remplis. La finalité de cet article est de discuter des avantages et des inconvénients de la participation, ainsi que des conditions à réunir pour que l’évaluation participative puisse atteindre ses objectifs.