La Tunisie cherche à réorienter ses politiques d'Aménagement et de conservation des eaux et des sols (ACES) afin qu'elles gagnent en efficacité, en s'appuyant sur des démarches participatives innovantes. Cette orientation s'inscrit dans des contextes ruraux souvent peu documentés où la dimension environnementale nécessite d'être objectivée. De plus, il existe peu d'espaces de dialogue et de concertation entre les principales catégories d'acteurs des espaces ruraux concernés.
La recherche et le développement dans le secteur agricole et agroalimentaire sont de plus en plus interpellés dans leurs capacités à répondre à la demande sociale et à contribuer au développement durable ou à la lutte contre la pauvreté.
L’eau d’irrigation est une ressource cruciale pour le développement économique et social en Tunisie. Dans un contexte de décentralisation et de délégation du rôle de l’État, une part importante de la gestion de cette eau d’irrigation a été confiée aux groupements de développement agricole (GDA). Ces groupements souffrent cependant d’un manque de reconnaissance de la part des usagers, qui se manifeste essentiellement par un faible consentement de leur part à payer les redevances.
Este libro demuestra a través de datos la importancia de la investigación y el desarrollo tecnológico, la extensión y la transferencia tecnológica, la vinculación tecnológica, las articulaciones con otras instituciones, la gestión del conocimiento y la comunicación para los desafios del desarrollo rural. Asimismo, expone que los procesos de innovación son altamente sensibles a los contextos socioeconómicos y a la implementación de políticas públicas.
Este artículo trata el problema de los varios tipos de acciones y políticas que se pueden definir como “innovaciones estructurales” en los sistemas nacionales de innovación, prestando especial atención al caso de la transformación de las interacciones entre el sector de la ciencia pública y la industria privada. El estudio se centra en la aparición y difusión de organizaciones que definen un entorno más estable y formalizado para la colaboración y la transferencia de conocimiento entre ciencia y empresa, como los centros de investigación colaborativa (CIC).
Desde su aparición en la década de 1990, el enfoque de los sistemas regionales de innovación (SRI) ha atraído una considerable atención por parte de los geógrafos económicos, académicos y responsables de políticas de innovación. El enfoque SRI ocupa un lugar destacado en el discurso científico sobre la desigual geografía de la innovación y los factores que explican la genera-ción de conocimiento y la capacidad de innovar de las regiones. El objetivo de este trabajo es reflexionar acerca de la aparición del enfoque SIR, su debate actual, así como los retos de futuro.
Cet article analyse un processus d’innovation dans la filière arachide au Sénégal entre 1999 et 2016. L’accent porte sur la mise en évidence des facteurs décisifs dans l’émergence d’un nouveau réseau de coopératives semencières au Sénégal sous l’impulsion de l’organisation de producteurs Asprodeb. L’analyse est basée sur la théorie du changement qui accorde une place importante aux relations entre les innovations techniques et leur contexte politique et social.
Dans le contexte de la RAD, le renforcement des capacités est vu comme un processus de développement continu, et non comme une activité de formation ponctuelle. Ce processus améliore les interactions, instaure la confiance et crée des synergies entre des instituts de recherche et des acteurs des secteurs public et privé, des petits agriculteurs et des organismes de développement.
Ce document analyse de façon critique deux interventions majeures identifiées pour mettre en œuvre la stratégie de renforcement des capacités de PAEPARD. La première intervention est la formation d’un vivier de facilitateurs de l’innovation agricole (FIA) pour assurer une médiation entre les acteurs concernés et, ainsi, consolider des consortiums efficaces. PAEPARD prévoyait que les FIA encouragent l’engagement virtuel (par l’intermédiaire de Skype, d’e-mails ou des réseaux sociaux) et en personne des partenaires dans des processus de renforcement des capacités.
Malgré les efforts déployés ces dernières années pour améliorer la situation de l’agriculture en Afrique subsaharienne, peu de changements ont été observés. Cet insuccès est dû, en partie, au fait que ces efforts ont été consentis par diverses entités de petite taille, aux capacités de financement à court terme et sans l’expertise nécessaire pour diffuser les résultats de leurs travaux de recherche. De plus, ces initiatives ont aussi pâti de la déconnexion entre la recherche et les utilisateurs finaux.