Le projet agro-écologique porte une ambition claire : dépasser les oppositions autour de la question du modèle de croissance de notre agriculture et inscrire l’évolution de notre agriculture et des filières agricoles et agroalimentaires dans un cadre tourné vers l’avenir et adapté aux nombreux défis que nous devons relever. Cette approche est d’autant plus nécessaire qu’il n’existe plus, de fait, de modèle unique d’exploitations ; celles-ci sont très diversifiées et de moins en moins semblables les unes aux autres. L’agro-écologie est un véritable projet pour l’agriculture.
Un guide pratique pour la lutte intégrée contre les ravageurs et l’aquaculture dans les systèmes rizicoles de la Guyane et du Suriname.
Le secteur agricole dans la bande de Gaza est confronté à un certain nombre de problèmes systémiques dont le plus important est l’épuisement de son aquifère côtier, qui est la seule source d’eau douce. L’aquifère est également extrêmement pollué, et la salinité élevée des eaux souterraines empêche certains des légumes les plus produits dans la bande de Gaza d’avoir un rendement satisfaisant.
La qualité de la nutrition n’est pas encore bien intégrée au sein des politiques alimentaires mondiales. Pourtant, les conséquences sociales, économiques et sanitaires de la malnutrition sur les populations sont de plus en plus graves.
Lancée par le président brésilien Lula au début des années 2000, Fome Zero est une stratégie globale de lutte contre la faim, intégrant un ensemble de programmes publics d’accès à l’alimentation, de soutien à l’agriculture familiale et de développement d’activités génératrices de revenus, le tout dans un cadre impliquant fortement la société civile. Grâce à Fome Zero, le Brésil est souvent montré comme le modèle à suivre en matière de politique publique de lutte contre la faim. Mais quels sont les aléas du copier-coller de ce modèle ?
Aujourd’hui, l’agriculture familiale fait preuve de dynamisme. Pour prouver qu’elle est un modèle à défendre, il faut convaincre les États de mener des politiques volontaristes et souveraines de rénovation de l’agriculture. Une politique efficace devra identifier les forces et les faiblesses de l’agriculture familiale, lutter contre l’accaparement des terres, encourager les jeunes paysans et les paysannes. Prendre en compte les différentes dimensions de l’agriculture familiale est nécessaire pour mener à une transformation efficace.
“We have changed already since the CDAIS project started working with us” said Mrs Khammone Luanglath. “Because of the project, we have for example divided our responsibilities within the group and our profits have increased.” The CDAIS project is working with a group of organic vegetable growers in Tongmang village in Vientiane province, who produce for local markets.
“CDAIS no nos da dinero, pero abre espacios para tener contactos importantes para el desarrollo de los productores de las asociaciones y del rubro”, dice Segovia que también se propone gestionar proyectos para mujeres, un museo de chocolate, una tienda de productos de cacao y cursos de catación para cacao súper fino. Y comoBernarda Moya, una productora de cacao en Balfate, La Ceiba explica, “Las relaciones con CDAIS nos ayuda a ser creativos y beneficiarnos todos.”
Individual farmers often receive low prices for their harvest, and pineapple producers in Bangladesh are no exception. To help them, CDAIS facilitated a series of meetings and coaching. Starting with a capacity needs assessment workshop in April 2017, a coaching plan was developed to meet capacity gaps identified by the partnership of pineapple producers, complete with an action plan. The partnership also participated in a ‘marketplace’ event in Dhaka, a regional policy dialogue and two phases of capacity-building training. The result?
“Burera dairy opened in September 2015 but immediately had problems in sourcing milk as there was no organized supply chain” explains Managing Director Emmanuel Mahoro. “But things improved when everyone involved began to meet.” Beginning in November 2016 with a capacity needs assessment workshop, CDAIS has helped to bring different actors and interests together, followed by more meetings and coaching sessions. And in September 2018, a first reflection meeting assessed the achievements and remaining challenges, but also identified that benefits went far beyond just the dairy…