Successful cases of innovation invariably demonstrate a range of partnerships, alliances and network-like arrangements that connect together knowledge users, knowledge producers and others involved in enabling innovation in the market, policy and civil society arenas. With this comes the realisation that public agricultural research needs to strengthen links to a wider set of players from the private and civil society sectors and, of course, farmers themselves. Public agricultural extension services have traditionally played the role of linking farmers to technology.
This paper draws lessons from selected country experiences of adaptation and innovation in pursuit of food security goals.
Farm input subsidies are often criticised on economic and ecological grounds. The promotion of natural resource management (NRM) technologies is widely seen as more sustainable to increase agricultural productivity and food security. Relatively little is known about how input subsidies affect farmers’ decisions to adopt NRM technologies. There are concerns of incompatibility, because NRM technologies are one strategy to reduce the use of external inputs in intensive production systems.
Though extension services have long since proved their value to agricultural production and farmer prosperity, their record in sub-Saharan Africa has been mixed. To study the impact of such programs on farmers' learning about agricultural technologies, we implemented a quasi-randomized controlled trial and collected detailed panel data among Malawian farmers. Based on those findings, we develop a two-stage learning framework, in which farmers formulate yield expectations before deciding on how much effort to invest in learning about these processes.
This report reviews recent trends in agricultural innovation systems (AIS) and discusses the impact of a wide range of policies on the creation and diffusion of innovation in the agricultural and agrifood sector. It suggests a framework for analysing the role of governments in fostering increased innovation, with a view to helping to identify practical actions that governments could take to improve productivity growth, sustainable use of resources, and resilience to future market developments in national and global agriculture and agri-food systems.
Ce rapport présente l’évolution récente des Systèmes d'innovation agricole (SIA) et examine l’incidence d’une large gamme de politiques sur la création et la diffusion de l’innovation dans le secteur agricole et agroalimentaire. Il propose un cadre pour analyser le rôle des pouvoirs publics dans le renforcement de l’innovation, afin d’aider á identifier des actions concrètes pour améliorer la productivité, l’utilisation durable des ressources et la capacité des systèmes nationaux et mondiaux agricoles et agroalimentaire á s’adapter aux évolutions futures des marchés.
La présente note commence par indiquer brièvement en quoi une politique de la concurrence est importante pour les économies en développement et en transition. Elle aborde ensuite certains éléments essentiels de l’établissement d’une culture de la concurrence. Idéalement, ce processus devrait tout d’abord consister en une « évaluation des besoins » dans différents domaines, qui permettra probablement de dresser une liste de mesures à hiérarchiser et à prendre.
Ce document examine les approches suivies actuellement en ce qui concerne le renforcement des capacités commerciales dans les pays africains. Ce but est de:
Identifier des mécanismes permettant de promouvoir un processus de formulation de la politique commerciale de type participatif et de l’intégrer dans les stratégies nationales de développement et de lutte contre la pauvret.
Etudier le rôle que pourraient jouer les donneurs en facilitant et en soutenant le processus d’élaboration de la politique commerciale.
Le présent document a reconnu l’existence d’un consensus international croissant au sujet de l’importance de l’objectif de renforcement des capacités et de la façon dont il a des chances d’être réalisé. L’accent a été mis sur la reconnaissance du fait que le renforcement des capacités est un processus endogène, sur l’importance de l’appropriation des politiques nationales qui en résulte, et sur la nécessité pour les donneurs de se limiter à encourager et à soutenir les efforts du pays.
Ce document offre un cadre de réflexion sur le renforcement des capacités, établi à partir des principaux enseignements tirés de l’expérience, qu’elle soit positive ou négative.