In theory, under the federal structure agricultural extension services can serve communities better as it aims to be client responsive and accountable to its consumers at the village level. However, poor understanding of federalism that has only recently emerged from the persisting centralized and feudal conceptions, limited practices of democratic norms and values primarily due to the lack of understanding of local governance, and limited commitment of political actors and policy makers to federalism, may derail the good intentions behind federalism.
Mounting evidence points to the fact that climate change is already affecting agriculture and food security, which will therefore make the challenge of ending hunger, achieving food security, improving nutrition, and promoting sustainable agriculture even more difficult (FAO 2016). Through Sustainable Development Goal (SDG) 13, the 2030 Agenda calls for strengthened resilience and adaptive capacity in response to natural hazards and climate-related disasters globally.
In early 2020, GFRAS provided support to the Agricultural Extension in South Asia (AESA) Network and the Bangladesh Agricultural Extension Network (BAEN) in order to customize one of the NELK Modules in the context of Bangladesh. The BAEN Executive Committee selected the GFRAS NELK Module 7 on ‘Facilitation for Development’ for customization. AESA and BAEN jointly implemented the development of the customized module for Bangladesh. The process of customization consisted of five phases spread over a span of six months.
This paper reviews the extension curricula currently followed in universities in India at different levels in light of the new challenges faced by farmers, the new capacities needed among extension personnel to address these challenges, new trends in the job market and advances made in the field of extension.
During the last six years (2013-2019), the Agricultural Extension in South Asia (AESA) Network has served as a platform for collating the voices, insights, concerns, and experiences of people in the extension sphere of South Asia. Diverse professionals shared their concerns on the present and future of Extension and Advisory Services (EAS) in the form of blog conversations for AESA.
Ce manuel illustre une méthode pour l’évaluation des projets de développement agricole, tout en expliquant:
- Ce qu’il faut mesurer;
- Comment mesurer l’impact des projets: quelles méthodes sont employées;
- L’évaluation systémique d’impact;
- L’évaluation systémique d’impact à l’épreuve des faits.
L’agronomie s’interroge sur la façon de co-développer de nouvelles propositions techniques et organisationnelles pour améliorer la production et le niveau de vie des populations. La Recherche-Action en Partenariat (RAP) est une démarche de recherche qui associe les acteurs locaux à la construction d’innovations. Le caractère imprévisible des stratégies des acteurs et la nécessité d’atteindre les objectifs de la RAP incitent les chercheurs à mettre en place des dispositifs adaptés à la situation locale.
Les exigences du marché s’accentuent progressivement avec la mise en place de systèmes de normes et de certification destinés à garantir la santé du consommateur, le droit des travailleurs, et limiter les impacts négatifs sur l’environnement. La production d’ananas dans le nord du Costa Rica est plus particulièrement concernée par la loi américaine sur le bioterrorisme et les normes EUREPGAP issues du secteur privé européen.
Cet article analyse les conditions d’accès aux connaissances dans l’univers des politiques publiques agricoles et leurs conséquences en termes de verrouillage technologique sur des solutions techniques dépendantes de l’usage de pesticides. À partir de l’identification des réseaux d’action publique impliqués dans le développement de l’Agriculture de conservation (AC), il montre une situation d’inégalité entre acteurs pour l’accès aux ressources permettant de développer des techniques innovantes.
Les relations entre, d’une part, la nature des droits et la disponibilité d’un titre de propriété, d’autre part, la stimulation du marché foncier, l’investissement ou la productivité des facteurs, restent objets de débats. Cette relation est explorée dans le cas de la politique foncière algérienne qui en 1983 ouvre la voie à la privatisation des terres du domaine privé de l’État. Cet article discute l’impact de cette politique en termes de marchandisation et d’usage productif de la terre, sur la base d’une enquête conduite dans la wilaya de Laghouat.