La CEPAL ha colaborado en la iniciativa La economía del cambio climático en Centroamérica (ECC CA) desde 2008 con el propósito de estimar y evidenciar los impactos de la variabilidad y del cambio climático, y propiciar la discusión sobre políticas públicas en sectores clave. Esta publicación es un resumen de los análisis de impactos potenciales del cambio climático y de las discusiones sobre opciones de políticas públicas en Guatemala generadas en el marco de la iniciativa ECC CA.
El Instituto Latinoamericano y del Caribe de Planificación Económica y Social (ILPES) de la Comisión Económica para América Latina y el Caribe (CEPAL) ha instituido un espacio periódico abierto a la interlocución con los especialistas en planificación para el desarrollo en la región, denominado Jornadas de Planificación. Entre el 17 y el 17 de mayo de 2016, estas jornadas se combinaron con el Seminario Internacional “Los Objetivos de Desarrollo Sostenible y la Construcción de Futuros para América Latina y el Caribe”.
Estas cartillas han sido producidas en el marco del Proyecto “Innovaciones institucionales para el apoyo a la gestión de procesos comerciales de la Agricultura Familiar y su vinculación con los mercados”, que se desarrolló de forma simultánea en Chile, Perú y la Argentina entre los años 2014 y 2016. Este proyecto fue financiado por el Fondo Concursable para la Cooperación Técnica del IICA (FonCT) con contrapartes gubernamentales en los tres casos. El proyecto parte de identificar tres problemas específicos con relación a la comercialización de los agricultores familiares:
La R&D agricole considère aujourd’hui les innovations de terrain comme des sources d’idées et de références pour améliorer durablement les modes de production. La « traque de systèmes innovants » et l’évaluation de ces systèmes pour définir les plus performants du point de vue économique et agrienvironnemental nécessitent cependant un travail de mise au point méthodologique, auquel cet article vise à contribuer.
Les politiques publiques en faveur du développement rural se matérialisent au travers d’instruments incitatifs, de règlements particuliers, ou encore par l’accompagnement des initiatives particulières. Ceux-ci répondent en général à la mise en place d’une stratégie nationale d’appui à une filière agricole. Dans le cas du quinoa cultivé au Chili, chaque région de production observe un développement propre.
Note de synthèse du rapport réalisé par la commission Agriculture et alimentation (C2A) de Coordination SUD. Il met en lumière les enjeux d’une adaptation des agricultures familiales aux changements climatiques sous l’angle des politiques publiques à partir de l’étude de cas des politiques mises en place au Costa Rica, au Niger et au Vietnam.
Au cours des vingt dernières années, l’évolution des politiques économiques au Nord comme au Sud a été marquée par la mise en place de processus de libéralisation. Selon les contextes institutionnels, la libéralisation peut prendre des formes très contrastées. Au Costa Rica, suite à l’adhésion du pays à l’OMC, la libéralisation de la filière haricot a été très marquée, du fait d’une protection tarifaire basse, alors que celle de la filière lait n’a pas été effective, du fait d’une protection tarifaire élevée, notamment.
En Europe, depuis trois décennies, la prise en compte des enjeux environnementaux dans les politiques agricoles se traduit, en partie, par la conception de Mesures agrienvironnementales (MAE), visant à promouvoir le changement de pratiques. En France, ces mesures ont été mobilisées dans différents modèles de contrats avec les agriculteurs, passant d’un paradigme basé sur la subvention de la multifonctionnalité d’une exploitation agricole à une compensation des surcoûts liés à l’adoption de nouvelles pratiques plus vertueuses au niveau des parcelles.
Face aux enjeux majeurs pour l’avenir de la sécurité alimentaire et de l’agriculture mondiale, le phénomène d’acquisition et de location de terres à grande échelle est un sujet fortement controversé qui mobilise activement les médias et l’opinion publique.
Le présent document est organisé en deux grandes parties. Une première partie dite « de synthèse » qui à partir de six études de cas d’investissement massif dans les terres en Afrique, en Asie et en Amérique latine, se propose de :
Fin des années 1990 : le Brésil adopte une politique agricole duale fondée sur l’appui à l’agrobusiness et à l’agriculture familiale. Dans ce contexte, l’un des principaux enjeux porte sur la définition d’un modèle agricole destiné à améliorer le soutien à une agriculture familiale longtemps niée par les politiques agricoles successives. Cet article participe à cette réflexion, toujours d’actualité, en discutant les difficultés d’accompagnement de la « modernisation » de ce type d’agriculture.