Du 24 au 26 novembre 2020, s’est tenu à Ségou au Mali, l’atelier des acteurs régionaux pour le développement du profil de risque climatique de la région de Ségou. L’atelier a été organisé dans le cadre du projet de « développement de chaînes de valeur et paysage climato-intelligents pour accroitre la résilience des moyens de subsistance en Afrique de l’Ouest », financé par l’Union européenne (UE) et mis en œuvre par le CCAFS au Mali, Niger et Sénégal en partenariat avec les instituts de recherches agricoles nationaux (IER, INRAN, ISRA).
L’utilisation des services hydrométéorologiques et climatiques (SHMCs) constitue une opportunité pour le Mali dans ses efforts visant à réduire la pauvreté, renforcer la résilience et s’adapter au changement climatique. En effet, les SHMCs permettent de protéger les populations contre les risques climatiques à court terme ou à évolution rapide (inondations et tempêtes) et à long terme ou à évolution lente (p. ex. sécheresses et changement climatique durable).
This report presents and reflects on the opportunities that new technological developments related to automation and precision agriculture (e.g. robotics) can offer to agriculture in developing countries. These technologies are mainly targeted to support farmers that struggle with the cost of labour when harvesting crops and to tackle the declining availability of manpower for general cropping operations.
Le présent rapport étudie les possibilités que les nouvelles avancées technologiques liées à l’automatisation et à l’agriculture de précision (la robotique, par exemple) peuvent offrir à l’agriculture dans les pays en développement. Ces technologies visent principalement à aider les agriculteurs appelés à faire face au coût de la main-d’oeuvre nécessaire pour les opérations de récolte, ainsi qu’à répondre au problème de la raréfaction de la main-d’oeuvre disponible pour l’ensemble des travaux agricoles.
Prior to the COVID-19 pandemic, young entrepreneurs in agrifood systems in sub-Saharan Africa were already facing a number of challenges. The main challenges include limited access to natural resources, finance, technology, knowledge and information, and insufficient participation in policy dialogues and other decision-making processes. The COVID-19 pandemic and its disruptions to agricultural value chains are presenting additional hurdles for these agripreneurs.
Ensemble, La FAO et la france travaillent pour améliorer la gouvernance alimentaire mondiale, promouvoir la gestion durable des ressources naturelles, renforcer les moyens de subsistance des communautés vulnérables, et favoriser le développement rural durable. Les récentes initiatives FAO + France ont contribué à :
Due to political conflict, hundreds of thousands of people had to leave their homes in northern Mali in the last decade. Many have since returned to their home but struggle to regain their livelihoods. In the Timbuktu region, food insecurity is very high and 15 percent of children under 5 years old suffer from acute malnutrition. Goundam, one of the administrative districts of the Timbuktu region, is populated by livestock farmers. Among the previously displaced people, many have lost all their livestock, and with that their traditional means of livelihood.
La maladie du covid-19 est devenue une pandémie qui a engendré une crise économique mondiale sans précédent. Cette crise a remis en cause la stabilité des équilibres assurant la sécurité alimentaire mondiale. Les modes de production et de consommation se trouvent aujourd’hui questionnés. Cette pandémie met en exergue les faiblesses et les inégalités existantes dans les systèmes de la santé ainsi que dans les systèmes agricoles et alimentaires.
Face à la crise mondiale causée par la pandémie de covid-19, les pays prennent des mesures.Les rayons des supermarchés restent approvisionnés pour le moment. Mais une crise pandémique prolongée pourrait rapidement mettre à mal les chaînes d’approvisionnement alimentaire, qui sont des réseaux complexes d’interactions entre exploitants, intrants agricoles, usines de transformation, services d’expédition, détaillants et bien d’autres.
The COVID-19 pandemic is a major economic shock, throwing into question the resilience of the agrifood sector at this stage, particularly in developing countries where self-employed, wage and informal workers are threatened by food supply chain disruptions, limitations on movement and trade restrictions. Even before the crisis, small and medium agribusinesses were often considered to be credit-constrained and extremely vulnerable to shocks.