Le présent document a reconnu l’existence d’un consensus international croissant au sujet de l’importance de l’objectif de renforcement des capacités et de la façon dont il a des chances d’être réalisé. L’accent a été mis sur la reconnaissance du fait que le renforcement des capacités est un processus endogène, sur l’importance de l’appropriation des politiques nationales qui en résulte, et sur la nécessité pour les donneurs de se limiter à encourager et à soutenir les efforts du pays.
This book is the re-titled third edition of the widely used Agricultural Extension (van den Ban & Hawkins, 1988, 1996). Building on the previous editions,Communication for Rural Innovation maintains and adapts the insights and conceptual models of value today, while reflecting many new ideas, angles and modes of thinking concerning how agricultural extension is taught and carried through today.
This paper was prepared to present at the Farmer First Revisited: 20 Years On conference at the Institute of Development Studies, University of Sussex, UK, December, 2007. Its focus is the challenge of strengthening agricultural innovation systems. The paper prefaces this discussion by reflecting on an apparent paradox. While agricultural innovation has never been better studied and understood, many of our ideas about innovation have failed to fundamentally change the institutional and policy setting of public and private investment intended to promote innovation for development.
This study introduces a framework for managing information flow in innovation systems. An organisation's capacity to receive information, to share it with others and to learn from it is assumed to be the key factor that shapes the flow patterns and, hence, the performance of the innovation system concerned. The framework is applied to characterise the information structure underlying the agricultural innovation system of Azerbaijan and to develop an information strategy for the system to accelerate the information flow.
Dans plusieurs domaines des sciences sociales et humaines (éducation, communication, travail social, économie sociale, médecine communautaire, technologie rurale, et pratiques politiques et syndicales, entre autres), et même dans les sciences dites « dures », la recherche appartient de moins en moins à un monde à part de spécialistes éloignés du terrain. Ce type de recherches – recherche participative, recherche-action, recherche collaborative, recherche-formation – se caractérise par un processus de production des connaissances effectué de concert avec les acteurs de terrain.
Au Brésil, la diffusion du modèle de gestion intégrée des ressources en eau varie fortement selon l’environnement socio-territorial. Le Sud présente un dynamisme certain s’appuyant sur des initiatives locales. Les acteurs locaux sont organisés en comité de bassin et développent des actions pour améliorer la gestion des ressources. Dans le Nordeste, la marche vers ces nouveaux modes de gestion paraît difficile tant les inerties sociales et culturelles freinent un partage réel du pouvoir, des ressources et des coûts.
This article examines differences in the research approaches of farmers and scientists and analyzes how these differences are related to the conditions under which both groups engage in experimental work. Theoretical considerations as well as practical experiences are presented to emphasize the great potential of farmer–researcher collaboration for rural innovation.
This paper (Part II) presents work to develop a network diagnosis tool for stakeholders involved in agricultural supply chains in Bolivia. It is complemented by a further paper (Part I) by Boru Douthwaite and colleagues in the same issue of this journal which presents a case study of work conducted by the International Centre for Tropical Agriculture (CIAT). The prototype methods used in both Parts I and II are based on social network analysis (SNA) methodology.
Les partisans de la souveraineté alimentaire veulent développer les agricultures locales, tandis que les avocats de la libéralisation vantent les bienfaits d’un approvisionnement à moindre coût sur les marchés. Les premiers pensent que les Etats doivent définir leur politique agricole pour répondre aux besoins de leurs populations, les seconds préfèrent le concept de « sécurité alimentaire », affirmant qu’il reconnaît aussi à chaque citoyen le droit de se nourrir à sa faim. Le combat pour la souveraineté a du mal à s’imposer dans l’arène politique.
Depuis plusieurs décennies, les pays de l’Afrique de l’Ouest se sont investis dans le développement et la diffusion des innovations agricoles dans le but d’accroître la productivité agricole et la production vivrière en particulier. Plusieurs mécanismes et approches ont été développés à cet effet en vue d’une utilisation efficace de ces innovations agricoles par les producteurs.