Depuis plusieurs décennies, les pays de l’Afrique de l’Ouest se sont investis dans le développement et la diffusion des innovations agricoles dans le but d’accroître la productivité agricole et la production vivrière en particulier. Plusieurs mécanismes et approches ont été développés à cet effet en vue d’une utilisation efficace de ces innovations agricoles par les producteurs.
La présente note commence par indiquer brièvement en quoi une politique de la concurrence est importante pour les économies en développement et en transition. Elle aborde ensuite certains éléments essentiels de l’établissement d’une culture de la concurrence. Idéalement, ce processus devrait tout d’abord consister en une « évaluation des besoins » dans différents domaines, qui permettra probablement de dresser une liste de mesures à hiérarchiser et à prendre.
Ce document examine les approches suivies actuellement en ce qui concerne le renforcement des capacités commerciales dans les pays africains. Ce but est de:
Identifier des mécanismes permettant de promouvoir un processus de formulation de la politique commerciale de type participatif et de l’intégrer dans les stratégies nationales de développement et de lutte contre la pauvret.
Etudier le rôle que pourraient jouer les donneurs en facilitant et en soutenant le processus d’élaboration de la politique commerciale.
Le présent document a reconnu l’existence d’un consensus international croissant au sujet de l’importance de l’objectif de renforcement des capacités et de la façon dont il a des chances d’être réalisé. L’accent a été mis sur la reconnaissance du fait que le renforcement des capacités est un processus endogène, sur l’importance de l’appropriation des politiques nationales qui en résulte, et sur la nécessité pour les donneurs de se limiter à encourager et à soutenir les efforts du pays.
Ce document offre un cadre de réflexion sur le renforcement des capacités, établi à partir des principaux enseignements tirés de l’expérience, qu’elle soit positive ou négative.
Successful cases of innovation invariably demonstrate a range of partnerships, alliances and network-like arrangements that connect together knowledge users, knowledge producers and others involved in enabling innovation in the market, policy and civil society arenas. With this comes the realisation that public agricultural research needs to strengthen links to a wider set of players from the private and civil society sectors and, of course, farmers themselves. Public agricultural extension services have traditionally played the role of linking farmers to technology.
The relationships between agriculture, the environment, and development are deep and complex. By 2050 a 70 per cent increase in production will be needed to feed an additional 2.7 billion people on an already degraded natural resource base. In light of this and amid the realities of climate change, the agricultural sector is now coming to terms with its potential role for contributing to – rather than diminishing - environmental, institutional, social and economic resilience.
The publication reviews forty years of development experience and concludes that donors and partner countries alike have tended to look at capacity development as mainly a technical process, or as a transfer of knowledge or institutions from North to South.