Esta herramienta permitirá a los actores de los movimientos de agricultura orgánica de los países diagnosticar el estado de sus sistemas nacionales de control de la producción orgánica (SNC) y elaborar, de manera participativay con el apoyo del IICA, planes de acción que fortalezcan las instituciones e instancias asociadas al control de la producción orgánica en el ámbito nacional, brindando así una mayor garantía de la calidad de este tipo de productos a los consumidores de los mercados nacionales e internacionales.
This tool will enable stakeholders in the countries’ organic agriculture movements to assess the functioning of national control systems (NCSs) for organic production and, with the assistance of IICA, to collaborate on the development of action plans to strengthen institutions and agencies involved in organic production control at a national level, thereby providing consumers in national and international markets with greater quality assurance for these types of products.
El objetivo del Sistema es el ampliar cobertura a productores/as que no tienen o tienen poca frecuencia de asistencia técnica por el sistema MAG, brindando respuestas a sus consultas sobre producción y comercialización de rubros agrícolas y pecuarios, a través de comunicación por vía telefónica:
• El productor/a recibirá información relevante para tomar decisiones.
• Se tendrá un monitoreo permanente de la situación agropecuaria.
Le semis direct est un système de production fondé sur le non-travail du sol. Il intègre une série de pratiques agricoles qui permettent de protéger les sols cultivés de l’érosion, de réduire les consommations de carburants, voire d’augmenter les rendements. Le large succès du semis direct au Brésil, contribue à la compétitivité et à la forte croissance de ses productions tout en préservant les sols. Le système complet du semis direct sous couvert est fondé sur trois principes : le non-labour, la couverture permanente du sol et des rotations culturales.
L’ouest du Rio Grande do Sul est dominé par la culture du soja, du riz et par l’élevage bovin. Dans la partie sableuse, le milieu est affecté par des phénomènes d’érosion produisant des modelés éoliens spectaculaires (arenização) rappelant dans l’imaginaire ceux des déserts. La production agricole est importante ce qui engendre des prélèvements d’eau pour l’irrigation du riz, mais aussi l’utilisation de pesticides pour l’ensemble des cultures. La gestion durable des ressources en eau et en sol de cette région nécessite la mise en place d’action de conservation.
Au Brésil, la diffusion du modèle de gestion intégrée des ressources en eau varie fortement selon l’environnement socio-territorial. Le Sud présente un dynamisme certain s’appuyant sur des initiatives locales. Les acteurs locaux sont organisés en comité de bassin et développent des actions pour améliorer la gestion des ressources. Dans le Nordeste, la marche vers ces nouveaux modes de gestion paraît difficile tant les inerties sociales et culturelles freinent un partage réel du pouvoir, des ressources et des coûts.
Le renforcement des capacités est maintenant d’une actualité brûlante en Afrique. Avec d’autres bailleurs de fonds, la banque recherche des moyens appropriés de collaborer avec les gouvernements africains pour les rendre mieux à même de mettre en oeuvre des programmes de développement sur tout le continent. Étant donné le caractère rural de la plupart des économies africaines et la concentration de pauvres dans les zones rurales, il est urgent de renforcer les capacités pour promouvoir le développement agricole.
Projet pilote, l’initiative Adaptation Learning Program (ALP) ou Programme d’Apprentissage sur l’Adaptation au Changement Climatique, est mis en œuvre pour une durée de cinq ans (2010-2014) à l’échelle de quatre pays subsahariens : Ghana, Kenya, Mozambique et Niger. Cette phase est conçue et mise en œuvre par Care et ses partenaires dans le but de « Renforcer la capacité des ménages vulnérables en Afrique sub-saharienne à s’adapter à la variabilité et au changement climatique à travers une approche d’adaptation à base communautaire (ABC) ».
Le Niger compte parmi les pays les plus vulnérables au monde en raison du contexte lié à son climat, ses institutions, ses sources de revenus, son économie et son environnement. La pauvreté y est omniprésente et le pays se classe au bas de l’échelle sur la quasi-totalité des indicateurs de développement humain. L’agriculture est le secteur le plus important de l’économie du Niger. Elle représente plus de 40 pour cent du le produit intérieur brut national et constitue la principale source de revenus pour plus de 80 pour cent de la population.
Le Programme 2012-2013 de l’Initiative 3N vise à :
- Accroître et diversifier les productions agro-sylvo-pastorales et halieutiques pour assurer la sécurité alimentaire et nutritionnelle des populations nigériennes;
- Augmenter les revenus des producteurs et des acteurs des filières agricoles par l’amélioration de la conservation, la transformation et la commercialisation des produits agro-alimentaires ;
- Améliorer les capacités nationales de prévention et de gestion des crises et catastrophes et la résilience des populations vulnérables.