il est possible et nécessaire aujourd’hui d’opérer un bilan du développement durable (DD) en s’appuyant sur les formes concrètes qu’il a prises depuis plus de vingt ans. Malgré les discussions, interrogations ou critiques que le terme a suscitées, il est sans conteste, depuis la conférence de Rio en 1992, l’horizon normatif des projets, programmes et politiques d’aide publique au développement qui opèrent concrètement sur les territoires, et il accompagne maintenant les stratégies d’entreprise.
Les conséquences sur les territoires des changements climatiques d’origine anthropique sont variables dans leurs expressions comme dans leurs effets, et les territoires sont inégaux face à ces variations climatiques en termes d’exposition aux effets (fonction de facteurs physiques, sociaux, économiques, culturels, politiques, etc.) comme en termes de capacité de réponse (capacité d’appréhension, d’anticipation, de réparation, etc.).
L’Agriculture de Conservation est un système s’inscrivant dans la démarche de l’agroécologie, fondé sur le non-labour, la couverture permanente du sol par des végétaux et des rotations longues et diversifiées. Le système vise à améliorer la productivité sur le long terme en respectant les services écosystémiques générés par l’activité biologique du sol et la matière organique qu’il contient. Les techniques de non-labour se sont développées sur le continent américain et en Australie. Elles prennent à présent de l’ampleur en Europe.
Au sud-est de la commune de Djougou, les eaux de surface à usage pastoral se raréfient depuis les années 1990. Pour en comprendre l’ampleur et les raisons, nous avons développé un outil permettant une analyse socio-spatiale et socio-environnementale, à l’échelle du finage de deux villages, des dynamiques des ressources, de leurs usages et des stratégies d’accès développées par les populations : un SIG « à dires d’acteurs » associant sur le même support une cartographie classique (réseau hydrographique, forêts, voies de communication, villages, etc.) et l’expertise des populations locales.
América Latina, el Caribe y el mundo enfrentan una crisis que incluye, entre otras, dos dimensiones fundamentales: el dramático deterioro ambiental y la profunda debacle alimentaria. Dicha crisis se caracteriza por el acaparamiento, concentración y extranjerización de las tierras de los campesinos, de los indígenas originarios y de los afrodescendientes solo comparable con la que se dio durante la Colonia.
En el primer capítulo presenta los retos para la seguridad alimentaria y el cambio climático en México y el mundo, así como los compromisos internacionales de México para atender ambos desafíos.
En esta comunicación se argumenta en torno a las ventajas de contar con una “Educación Intercultural sobre el Cambio Climático” como vía para empoderar a las comunidades locales. Se propone una metodología para la recuperación y valoración del estado de vitalidad/erosión intergeneracional de los conocimientos tradicionales sobre el cambio climático.
Como parte del proyecto insignia del IICA “Productividad y sustentabilidad de la agricultura familiar para la seguridad alimentaria y la economía rural” se realizó un ejercicio participativo para identificar y validar innovaciones que contribuyan a la mejora de los sistemas de agricultura familiar.
Este documento trata de estrategias de adaptación de los pequeños agricultores para enfrentar el cambio climático.
Este documento presenta un análisis del contexto macroeconómico y sectorial y de las tendencias y perspectivas para los cultivos, la ganadería, la pesca, los bosques, el bienestar rural y las políticas públicas e institucionalidad del sector. A partir del análisis de las tendencias y las perspectivas, cada capítulo ofrece a consideración de los tomadores de decisiones una serie de recomendaciones que se considera aportarían a afrontar los retos de la dinámica económica mundial y a aprovechar las oportunidades que ofrece.