L’agroécologie s’inscrit dans le registre de l’écologie, qui s’intéresse aux interactions - et à leurs conséquences - entre l’homme et son milieu, en tentant de minimiser les effets négatifs de certaines des activités humaines. Elle vise la préservation de l’environnement, le renouvellement durable des ressources naturelles nécessaire à la production (eau, sol, biodiversité...) et l’économie d’utilisation des ressources non renouvelables.
L’Assemblée générale des Nations unies a annoncé que 2010 est l’Année internationale de la biodiversité. Alors que l’humanité commence seulement à tenter de résoudre les dégâts provoqués par le réchauffement climatique, la perte de la biodiversité engendrée par les activités humaines est encore plus destructrice pour la planète ! Pour les populations rurales et les paysans du Sud, la préservation de la biodiversité est vitale. Comme le dit Patrick Ten Brink, directeur de l’Institut européen des politiques environnementales : » Les écosystèmes sont le PIB des pauvres en milieu rural ».
Chez nous, certains en rêveraient presque … fini le chant du coq à 5h du matin, les odeurs de purin dans les campagnes, les manifestations des producteurs de lait à coup de tracteurs qui bloquent les entrées des villes, et aussi terminé l’argent du contribuable «gaspillé» dans le gouffre des subventions agricoles. D’autres, avec un haussement d’épaules, ne noteraient peut-être même pas la différence.
All over the world, one of the main purposes of extension is to increase the level of living standards of the rural family through non-formal education. Extension has a very crucial role to play in sustainable development and organic agriculture. For that reason, extension activity is implemented by different institutions. Extension systems worldwide are operated by governmental (86%) and non-governmental (14%) organizations. In this paper, allelopathy is accepted as a technology to implement for weed control and biological control of other useful traits.
Digital Agriculture is an “intelligent” computer management and application system that includes many high technologies of, such as infomationization, digitization, network, automation and more so on. On the basis of analyzing the main content and meaning of “Digital Agriculture”, this paper designs the system construction of “Digital Agriculture” based on Internet, and discusses the function and structure of main core modules of System of Digital Agriculture in detail. Finally, this paper also analyzes the developing trend about system of “Digital Agriculture”
Rural growth is seen as an engine to drive the economy of developing countries and the use of Agriculture Market Information Services (AMIS) is believed to enable this growth. This paper is based on a literature study and investigates the spread and use of AMIS in the least developed countries (n=49) in terms of users, management, funding, infrastructure, and data. This paper investigates success as well as failure aspects, and discuss the role of new technologies.
This paper sets out an analytical framework for doing research on the question of how to use agricultural research for innovation and impact. Its focus is the Research Into Use programme sponsored by the UK's Department for International Development (DFID). This is one example of a new type of international development programme that seeks to find better ways of using research for developmental purposes.
RIU is a research and development programme designed to put agricultural research into use for developmental purposes and to conduct research on how to do this. The programme is funded by the UK’s Department for International Development (DFID). It follows earlier investments by DFID in agricultural and natural resources research, supported through its renewable natural resources research strategy (RRNRRS). While this strategy delivered high-quality research, the uptake of this research and its impact on social and economic progress was modest.
Des investisseurs publics et privés, nationaux ou étrangers, lancent des programmes d’acquisition, de location ou d’utilisation contractuelle de terres agricoles dans des pays disposant de ressources foncières bon marché, où le marché foncier relève généralement de l’État (Afrique, Asie centrale, Amérique du Sud). Cette tendance s’est accélérée à la suite de la crise alimentaire du printemps 2008, puis de la crise fi nancière. Selon la FAO, entre 20 et 30 millions d’hectares de terres auraient fait l’objet de transactions ces dernières années.
L’objectif de ce guide est de faciliter la planification et la mise en œuvre des
sessions de formation. Il fait partie du cours de Gestion d’entreprises associatives
rurales en agroalimentaire et a été conçu pour les facilitateurs qui possèdent
des connaissances et une expérience en ce qui concerne les aspects techniques de
la formation, mais qui n’ont pas forcément de compétences pédagogiques et qui
n’ont pas d’expérience leur permettant de faciliter le processus d’enseignementapprentissage.