This document presents a proposed methodology for public expenditure review and analysis for climate change adaptation and mitigation in the agriculture sector (PERCC) and its application to a case study of Kenya. It starts by explaining the basic methodological concepts, classification and labelling of public expenditures that allow for calculating spending in agriculture related to climate change adaptation and mitigation.
Agriculture is an important type of land use but suffers from drought, especially under global climate change scenarios. Although government is a major actor in helping farmers to adapt to drought, lack of funds has constrained its efforts. Public-Private Partnership (PPP) mechanism has been widely applied in urban infrastructure development to raise fund for public goods and services, but very few studies explored its role in rural areas.
Feeding an additional three billion people over the next four decades, along with providing food security for another one billion people that are currently hungry or malnourished, is a huge challenge. Meeting those goals in a context of land and water scarcity, climate change, and declining crop yields will require another giant leap in agricultural innovation. The aim of this paper is to stimulate a dialogue on what new approaches might be needed to meet these needs and how innovative funding mechanisms could play a role.
This brief draws on three cases to show how the private sector contributes to the conceptualisation, design, delivery and evaluation of climate-smart agricultural interventions and can help bring them to scale. Engaging the private sector in CSA interventions enhances the applicability – and thus the sustainability of interventions, increases uptake and delivers a triple win for donors, beneficiaries and the private sector.
Note de synthèse du rapport réalisé par la commission Agriculture et alimentation (C2A) de Coordination SUD. Il met en lumière les enjeux d’une adaptation des agricultures familiales aux changements climatiques sous l’angle des politiques publiques à partir de l’étude de cas des politiques mises en place au Costa Rica, au Niger et au Vietnam.
Le rapport est construit en trois parties : • la première partie traite de l’adaptation des agricultures familiales aux changements climatiques et des conditions de l’adaptation ; • la seconde partie aborde la place de l’adaptation des agricultures familiales dans les politiques publiques ; • la troisième partie propose un certain nombre de recommandations en vue d’une meilleure intégration de cette question dans les politiques publiques. Une présentation des trois études de cas-pays est par ailleurs proposée en annexe.
La population mondiale atteindra probablement les neuf milliards de personnes d’ici le milieu du siècle. Selon les estimations de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), il faudrait augmenter la production alimentaire de 60 pour cent pour les nourrir. Ces produits alimentaires supplémentaires devraient dans l’idéal être produits là où ils sont censés être consommés, c’està-dire dans les pays en développement. Pour y parvenir, ces pays doivent augmenter sensiblement leur production.
Le projet agro-écologique porte une ambition claire : dépasser les oppositions autour de la question du modèle de croissance de notre agriculture et inscrire l’évolution de notre agriculture et des filières agricoles et agroalimentaires dans un cadre tourné vers l’avenir et adapté aux nombreux défis que nous devons relever. Cette approche est d’autant plus nécessaire qu’il n’existe plus, de fait, de modèle unique d’exploitations ; celles-ci sont très diversifiées et de moins en moins semblables les unes aux autres. L’agro-écologie est un véritable projet pour l’agriculture.
Au Burkina Faso, le faible niveau de développement social et économique et sa population à grande majorité rurale rendent le pays très dépendant des ressources naturelles. Pour se nourrir, se loger et s’épanouir, les ressources naturelles sont directement prélevées et les terres sont de plus en plus mises en culture sous la pression démographique au détriment des espaces naturels. En effet, les ressources naturelles constituent le support de la plupart des activités de production.
In order to realize the potential of agricultural innovation in family farming, national priorities of sustainably increasing food production and productivity, and reducing hunger and poverty, require rural knowledge institutions to be stronger and communication processes to be improved. This brief synthesizes the focus of FAO’s research and extension branch on transforming agricultural innovation systems of member countries.