Le projet CALAO – Capitalisation d’expériences d’acteurs pour le développement de techniques agroécologiques résilientes en Afrique de l’Ouest – a été mis en œuvre au cours de l’année 2017 dans le cadre du Projet d’appui à la sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest (PASANAO), financé par l’AFD et dont la maîtrise d’ouvrage est assurée par la CEDEAO.
La lutte contre la malnutrition constitue un enjeu majeur de développement, longtemps négligé. C’est pourquoi la France, aux côtés de nombreux autres bailleurs, a pris des engagements internationaux pour lutter contre la malnutrition. La sous-nutrition ne concerne pas seulement les situations d’urgence et la malnutrition relève d’un ensemble de facteurs multisectoriels, très liés à un territoire donné. Il paraissait donc nécessaire à l’Agence Française de Développement de bien ancrer la lutte contre la malnutrition dans la réalité opérationnelle.
Des investisseurs publics et privés, nationaux ou étrangers, lancent des programmes d’acquisition, de location ou d’utilisation contractuelle de terres agricoles dans des pays disposant de ressources foncières bon marché, où le marché foncier relève généralement de l’État (Afrique, Asie centrale, Amérique du Sud). Cette tendance s’est accélérée à la suite de la crise alimentaire du printemps 2008, puis de la crise fi nancière. Selon la FAO, entre 20 et 30 millions d’hectares de terres auraient fait l’objet de transactions ces dernières années.
La agricultura de América Latina y el Caribe (ALC) se enfrenta a una oportunidad global sin precedentes: satisfacer los patrones de consumo diferenciados y de mayor calidad de 7000 millones de personas en la actualidad y de no menos 9000 millones para el 2050. A esta oportunidad se suma el valor que le brinda la agricultura a las poblaciones rurales, no solo como su fuente alimentaria, sino también como su única o primordial fuente de ingresos. Y son los territorios rurales precisamente los llamados a prepararse, adaptarse y asumir el reto de alimentar al mundo.
El documento trata sobre las áreas de cultivo de frijol y maíz en Centroamérica y República Dominicana. Se abarcan también aspectos relacionados con su consumo, rendimiento, producción, tipo de productores, factores socioeconómicos y se hace uso de estadísticas para brindar la información respectiva.
Les notions de services environnementaux et de services écosystémiques (SE) ont connu un rapide engouement au cours de la dernière décennie et sont à l’origine de nouveaux instruments pour faire face à divers problèmes environnementaux, notamment la déforestation : les dispositifs de Paiements pour Services Environnementaux (PSE). Néanmoins, l’intégration du concept dans les politiques publiques reste un processus rare.
Grown in Jamaica since the days of slavery, food yams are major staples in local diets and a significant non-traditional export crop. The cultivation system used today is the same as 300 years ago, with alleged unsustainable practices. A new cultivation system called minisett was introduced in 1985 but the adoption rate twenty four years later is extremely low.
Conventional approaches to agricultural extension based on top–down technology transfer and information dissemination models are inadequate to help smallholder farmers tackle increasingly complex agroclimatic adversities. Innovative service delivery alternatives, such as field schools, exist but are mostly implemented in isolationistic silos with little effort to integrate them for cost reduction and greater technical effectiveness.
Common Agricultural Policy (CAP) proposes environmental policies developed around action-based conservation measures supported by agri-environment schemes (AES). High Nature Value (HNV) farming represents a combination of low-intensity and mosaic practices mostly developed in agricultural marginalized rural areas which sustain rich biodiversity. Being threatened by intensification and abandonment, such farming practices were supported in the last CAP periods by targeted AES.
Sur la base de 16 études de cas, nous cherchons à comprendre comment l'usage des technologies de l'information et de la communication (TIC) transforme les dispositifs de conseil agricole au Burkina Faso. Si les outils employés et les thématiques du conseil sont diversifiés, les services demeurent récents et inaboutis. Les prestataires de conseil cherchent en effet à améliorer les outils et services, dont la durabilité n'est pas encore garantie. Ceci s'explique notamment par la complexité du travail inter-organisationnel pour développer ces services.