This paper provides a review of agronomic management practices supporting sustainable crop production systems and intensification, and testifying to developments in the selection of crops and cultivars. The paper also describes crop farming systems taking a predominantly ecosystem approach and it discusses the scientific application of this approach for the management of pest and weed populations.
Organic farming is recognized as one source for innovation helping agriculture to develop sustainably. However, the understanding of innovation in agriculture is characterized by technical optimism, relying mainly on new inputs and technologies originating from research. The paper uses the alternative framework of innovation systems describing innovation as the outcome of stakeholder interaction and examples from the SOLID (Sustainable Organic Low-Input Dairying) project to discuss the role of farmers, researchers and knowledge exchange for innovation.
Local innovation refers to the dynamics of Indigenous Knowledge (IK) - the knowledge that grows within a social group, incorporating learning from own experience over generations but also knowledge gained from other sources and fully internalized within local ways of thinking and doing. Local innovation is the process through which individuals or groups discover or develop new and better ways of managing resources - building on and expanding the boundaries of their IK.
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Le développement territorial durable requiert des innovations aussi bien techniques, que sociales et institutionnelles. Favoriser ces innovations est l'objectif des récentes démarches d'ingénierie territoriale qui adaptent les processus d'innovation développés en entreprise. Dans cet article, la pertinence de cette orientation est discutée en s'appuyant sur les enseignements d'une recherche-action, menée dans un territoire « fragilisé » : l' « Alto Sertão du Piauí et du Pernambouco », dans le Nordeste brésilien.
En México y en el mundo, la incorporación de la comunidad científica (entre ellos los ecólogos) a la generación de conocimientos que coadyuven a solucionar los graves problemas ambientales, y avanzar hacia la sustentabilidad, requiere de una visión diferente en la investigación. Más aún, se requiere de herramientas novedosas para acoplar el trabajo de la comunidad científica con el resto de la sociedad.
Los servicios de extensión rural han contribuido al desarrollo agropecuario, sin embargo existe una brecha entre el conocimiento disponible y su adopción por parte de los agricultores, que dichos servicios no han logrado disminuir de manera sustancial. Por esta razón, el objetivo de este estudio fue analizar las tendencias de la investigación en extensión rural, que permitan identificar enfoques que contribuyan al planteamiento de recomendaciones para un servicio de extensión rural orientado al desarrollo de capacidades de autogestión de las comunidades rurales.
Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).
L’ouest du Rio Grande do Sul est dominé par la culture du soja, du riz et par l’élevage bovin. Dans la partie sableuse, le milieu est affecté par des phénomènes d’érosion produisant des modelés éoliens spectaculaires (arenização) rappelant dans l’imaginaire ceux des déserts. La production agricole est importante ce qui engendre des prélèvements d’eau pour l’irrigation du riz, mais aussi l’utilisation de pesticides pour l’ensemble des cultures. La gestion durable des ressources en eau et en sol de cette région nécessite la mise en place d’action de conservation.
La consommation de produits certifiés n’est plus l’apanage des pays développés. Au Kenya, les premiers marchés biologiques sont apparus à Nairobi en 2006. Ils sont approvisionnés par des maraîchers, confrontés à une diversité de défis : construire une certification biologique crédible, garantir la fraîcheur des produits et composer avec l’hétérogénéité des attentes des consommateurs. À partir de données d’enquête et du cadre analytique des coûts de transaction, nous analysons l’organisation des marchés de 2006 à 2013.
Farmers’ experiments can be defined as the autonomous activities of farmers to try or introduce something new at the farm, and include evaluation of success or failure with farmers’ own methods. Experiments enable farmers to adapt their farms to changing circumstances, build up local knowledge, and have resulted in countless agricultural innovations. Most research on the topic has been conducted in countries of the south.