Le sud du Brésil qui possède un bon potentiel naturel en raison de son climat chaud et humide et de son relief favorable est voué principalement à l’élevage et aux cultures de soja, de riz et de maïs. Cette région, comme d’autres au Brésil, participe à la production de denrées agricoles pour le marché national et international. Elle est ainsi soumise à l’intensification des pratiques dont les impacts sur l’environnement sont notoires. L’étude concerne plus particulièrement le bassin versant de l’Ibicuí (46 800 km²), situé dans le sud-ouest de l’État de Rio Grande do Sul.
Du fait de leur transversalité et de leur objet, l'évaluation des politiques de développement territorial ne peut pas s'appuyer sur les outils utilisés pour évaluer les politiques sectorielles. Les questions procédurales sont très largement dominantes, les dispositifs portant essentiellement sur la gouvernance et la coordination. Pour évaluer une démarche procédurale, il convient de préciser le référentiel d’évaluation à la fois en termes du quoi et du comment évaluer.
Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).
América Latina y el Caribe (ALC) se caracteriza por aplicar una estrategia de desarrollo que depende de manera notable de la explotación de sus recursos naturales. Debido a que la población de la región aumenta de forma sistemática, la presión sobre los recursos naturales ha tenido un incremento marcado.
Cet article aborde la mise en place d’un projet d’agroforesterie villageoise, pour la gestion intégrée des ressources naturelles, dans le hameau de Duale Mitterrand (52 ménages) situé sur le plateau des Batéké (République démocratique du Congo). Il repose sur un travail de terrain effectué entre février et mai 2012 dans le cadre du mémoire de fin d’études du master en sciences et gestion de l’environnement de l’Université Libre de Bruxelles (ULB).
Les notions de services environnementaux et de services écosystémiques (SE) ont connu un rapide engouement au cours de la dernière décennie et sont à l’origine de nouveaux instruments pour faire face à divers problèmes environnementaux, notamment la déforestation : les dispositifs de Paiements pour Services Environnementaux (PSE). Néanmoins, l’intégration du concept dans les politiques publiques reste un processus rare.
Public-private partnerships are a new way of carrying out research and development (R&D) in Latin America's agricultural sector. These partnerships spur innovation for agricultural development and have various advantages over other institutional arrangements fostering R&D. This report summarizes the experiences of a research project that analyzed 125 public-private research partnerships (PPPs) in 12 Latin American countries. The analysis indicates that several types of partnerships have emerged in response to the various needs of the different partners.
The purpose of this paper is to summarize the challenges and the practical successes that a selected number of countries are experiencing in moving towards 'climate-smart' agriculture while also meeting the food requirements of a growing population, broader economic development and green growth objectives. It complements papers prepared in 2010 on technologies and policy instruments, research, and farmers' perspectives.
This issue of Handshake, IFC’s quarterly journal on public-private partnerships, focuses on the following topics: 10 years of private-sector participation in water; Mozambiques industry behind the tap; and feature: irrigating Brazils semi-arid northeast.
Le gouvernement de Lula a considérablement amplifié et diversifié le Programme d’Appui à l’Agriculture Familiale (PRONAF), créé par le gouvernement Fernando Henrique Cardoso en 1995. Ce choix affirmé sur la longue durée pour l’agriculture familiale, peut surprendre dans un Brésil qui a toujours, tout au long de son histoire, privilégié l’agriculture « d’entreprise » : latifundia et entreprises agricoles.