The gender capacity assessment in Ethiopia, which took place in December 2016, analysed the current gender capacities against desired future gender capacities of the African Chicken Genetic Gains (ACGG) partners. It measured six core gender capacities at organizational and at individual (staff) levels of all six engaged national and regional research institutes. These capacities are assessed in relation to the environmental (contextual) level; the institutional and policy environment that enables or disables the other capacities.
The CGIAR Research Program on Livestock and Fish aims to increase the productivity of small-scale livestock and fish systems in sustainable ways, making meat, milk and fish more available and affordable across the developing world. This project analyzed the current gender capacities against desired future gender capacities of the Livestock and Fish partners and subsequently designed tailor-made capacity development interventions.
Las políticas públicas inclusivas requieren de cambios en el marco institucional y normativo; en las prácticas de cómo funcionan las instituciones; en la lógica de actuación de sus dirigentes y funcionarios; en los métodos de implementación de las políticas y programas; y en el enfoque de aterrizaje de las acciones.
Les systèmes semenciers paysans nourrissent le monde et font preuve de résilience face aux catastrophes naturelles. Cependant, ils sont menacés par l’emprise croissante des entreprises sur la nature et par l’accélération de la destruction de la biodiversité agricole. De plus en plus, les sociétés des semences et de l’agrochimie cherchent à privatiser, monopoliser et contrôler les semences en déposant des brevets et en encourageant la marchandisation de la source même de la vie.
2015 a été une année marquante pour l’avenir de la planète et donc pour l’avenir de chaque femme, chaque homme, chaque enfant, fille ou garçon, aux quatre coins du monde. Deux événements importants – le Sommet des Nations Unies sur le développement durable 2015 et la COP21, sur le développement et le changement climatique, ont donné lieu à des engagements concrets et sans précédent à l’échelle mondiale pour éradiquer la pauvreté d’ici à 2030 et promouvoir la protection de l’environnement.
Défis Sud avait déjà consacré un numéro spécial au « genre » en développement en 2005. Neuf ans plus tard, dans ce numéro « genre et transformations de l’agriculture familiale », la revue entend croiser les dynamiques présentes dans ce type d’agriculture en abordant les rapports femmes-hommes, les relations de pouvoir et les changements sensibles dans les interactions sociales, culturelles et professionnelles entre femmes et hommes dans les exploitations agricoles familiales.
Les changements climatiques sont intimement liés à l’agriculture et à la sécurité alimentaire. En effet, on peut considérer l’agriculture à la fois comme acteur, victime et sauveur des changements climatiques. Malgré ce triple rôle évident, l’agriculture n’apparait pas en tant que telle dans les négociations.
L’agriculture mondiale est confrontée à de nombreux défis en termes de souveraineté alimentaire. Il s’agit d’abord d’assurer un accès équitable à la nourriture et aux produits agricoles de première nécessité pour une population mondiale croissante. Il s’agit ensuite d’inclure la production agricole dans une perspective plus générale de lutte contre la pauvreté, l’inégalité et la malnutrition dans le monde. Il s’agit enfin de contribuer à une gestion plus durable des ressources naturelles et agricoles et de la biodiversité.
Cet article présente et décrit le contenu d’une base de données construite à partir d’une enquête menée dans le gouvernorat de Sidi-Bouzid, situé dans le centre de la Tunisie. Sur ce territoire en transition, le secteur agricole, qui tient une place prédominante dans l’activité économique, est caractérisé par la diversité de ses exploitations, aussi bien sur le plan organisationnel (main-d’œuvre familiale ou salariée à dominante féminine) que technique (présence d’infrastructure d’irrigation, de culture sous-abri).
While vaccination campaigns against COVID-19 were launched worldwide, a drama has been unfolding in the Moroccan countryside. It has been marked, over the last couple of decades, by rapid agrarian transformation, manifestations of which have included expanding irrigation frontiers and the increasing growth of high-value crops. These dynamics rely strongly on female agricultural wageworkers. Although they earn low wages, their income is crucial and is used to care for loved ones by paying for school fees, rent, electricity, and medicines.