This paper was prepared to present at the Farmer First Revisited: 20 Years On conference at the Institute of Development Studies, University of Sussex, UK, December, 2007. Its focus is the challenge of strengthening agricultural innovation systems. The paper prefaces this discussion by reflecting on an apparent paradox. While agricultural innovation has never been better studied and understood, many of our ideas about innovation have failed to fundamentally change the institutional and policy setting of public and private investment intended to promote innovation for development.
This study describes the evolving context and organisational linkages in the agricultural innovation system of Azerbaijan and suggests ways to promote effective organisational ties for the development, distribution and use of new or improved information and knowledge related to agriculture. Graph-theoretic principles and concepts are employed to assess the existing organisational linkages vital for agricultural innovations.
In order to realize the potential of agricultural innovation in family farming, national priorities of sustainably increasing food production and productivity, and reducing hunger and poverty, require rural knowledge institutions to be stronger and communication processes to be improved. This brief synthesizes the focus of FAO’s research and extension branch on transforming agricultural innovation systems of member countries.
Asterio P. Saliot, National Director of the Agricultural Training Institute (Department of Agriculture, Philippines), presented the RAS context of his country at the 3rd GFRAS Annual Meeting, "The Role of Rural Advisory Services in Agricultural Innovation Systems", 26-28 September 2012, Philippines.
The presentation describes the role of extension, key players and capacities needed within the context of the Philippine Agricultural Innovation System.
To meet multiple environmental objectives, integrated programming is becoming increasingly important for the Global Environmental Facility (GEF). Integration of multiple environmental, social and economic objectives also contributes to the achievement of the Sustainable Development Goals (SDGs) in a timely and cost-effective way. However, integration is often not well defined. This report therefore focuses on identifying key aspects of integration and assessing their implementation in natural resources management projects.
This book discusses innovation problems and opportunities for family farming in the different regions of the American continent, as well as the role of hemispheric, regional and national agrifood research systems. Likewise, it provides a description of the main innovation actions and projects promoted by IICA, and the main success cases over recent years.
L’ouest du Rio Grande do Sul est dominé par la culture du soja, du riz et par l’élevage bovin. Dans la partie sableuse, le milieu est affecté par des phénomènes d’érosion produisant des modelés éoliens spectaculaires (arenização) rappelant dans l’imaginaire ceux des déserts. La production agricole est importante ce qui engendre des prélèvements d’eau pour l’irrigation du riz, mais aussi l’utilisation de pesticides pour l’ensemble des cultures. La gestion durable des ressources en eau et en sol de cette région nécessite la mise en place d’action de conservation.
Au Brésil, la diffusion du modèle de gestion intégrée des ressources en eau varie fortement selon l’environnement socio-territorial. Le Sud présente un dynamisme certain s’appuyant sur des initiatives locales. Les acteurs locaux sont organisés en comité de bassin et développent des actions pour améliorer la gestion des ressources. Dans le Nordeste, la marche vers ces nouveaux modes de gestion paraît difficile tant les inerties sociales et culturelles freinent un partage réel du pouvoir, des ressources et des coûts.
L' étude de la Banque Mondiale a identifié des mesures d’atténuation pouvant apporter des solutions à court et à long termes aux problèmes du secteur agricole du Niger. Il s’agit, notamment de :
l’utilisation de variétés à haut rendement résistantes à la sécheresse,
l’application de techniques de CES/DRS et de gestion des ressources naturelles,
l’extension des surfaces sous irrigation,
la lutte préventive contre les criquets pèlerins,
La consommation de produits certifiés n’est plus l’apanage des pays développés. Au Kenya, les premiers marchés biologiques sont apparus à Nairobi en 2006. Ils sont approvisionnés par des maraîchers, confrontés à une diversité de défis : construire une certification biologique crédible, garantir la fraîcheur des produits et composer avec l’hétérogénéité des attentes des consommateurs. À partir de données d’enquête et du cadre analytique des coûts de transaction, nous analysons l’organisation des marchés de 2006 à 2013.