L’ouest du Rio Grande do Sul est dominé par la culture du soja, du riz et par l’élevage bovin. Dans la partie sableuse, le milieu est affecté par des phénomènes d’érosion produisant des modelés éoliens spectaculaires (arenização) rappelant dans l’imaginaire ceux des déserts. La production agricole est importante ce qui engendre des prélèvements d’eau pour l’irrigation du riz, mais aussi l’utilisation de pesticides pour l’ensemble des cultures. La gestion durable des ressources en eau et en sol de cette région nécessite la mise en place d’action de conservation.
La consommation de produits certifiés n’est plus l’apanage des pays développés. Au Kenya, les premiers marchés biologiques sont apparus à Nairobi en 2006. Ils sont approvisionnés par des maraîchers, confrontés à une diversité de défis : construire une certification biologique crédible, garantir la fraîcheur des produits et composer avec l’hétérogénéité des attentes des consommateurs. À partir de données d’enquête et du cadre analytique des coûts de transaction, nous analysons l’organisation des marchés de 2006 à 2013.
Le principal message qui est ressorti de la consultation est que l'agriculture familiale apportait une contribution cruciale aux secteurs agricole et halieutique et à la sécurité alimentaire de la région et, qu'à ce titre, les mesures de soutien de cette activité devaient faire partie intégrante de toutes les stratégies de développement de l'agriculture et de sécurité alimentaire.
Ce document présente la position de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et du Forum mondial pour le conseil rural (GFRAS) sur la place actuelle des services de vulgarisation et de conseil agricole et sur les chemins qu’elle devra suivre à l’avenir. Les résultats présentés dans le document sont destinés à mieux situer la vulgarisation compte tenu de l’avenir de la recherche agricole en faveur du développement.
This document presents a summary of the main findings of sector and multi-stakeholder consultations conducted by the Platform for African European Partnership on Agricultural Research for Development (PAEPARD) during 2010-2012. It provides recommendations for the sustainable establishment of partnerships in agricultural research for development (ARD), between African and European partners in particular, to be innovative, balanced and demand-driven.
Ce document présente un résumé des principales conclusions des consultations sectorielles et multi-acteurs menées par la Plateforme pour un partenariat Afrique-Europe dans le domaine de la recherche agricole pour le développement (PAEPARD) entre 2010 et 2012. Il formule des recommandations pour l’élaboration de partenariats durables, innovants, équilibrés, en particulier entre partenaires africains et européens, et pilotés par la demande dans le domaine de la recherche agricole pour le développement (RAD).
Most agencies supporting agricultural research in sub-Saharan Africa (SSA) provide funds for discrete projects over specific periods of time, usually a maximum of three years. Research topics identified for calls for proposals are not always well aligned with users’ needs. In particular, research topics may not reflect the priorities of organizations - such as farmer organizations and private agribusinesses, with interests in the research outcomes; they are not generally supported to play a significant role as project partners.
La plupart des agences qui soutiennent la recherche agricole en Afrique subsaharienne fournissent des financements à des projets distincts durant des périodes spécifiques, en général pour une durée maximale de trois ans. Les sujets de recherche identifiés pour les appels à propositions ne correspondent pas toujours aux besoins des utilisateurs. Ils peuvent, en particulier, ne pas refléter les priorités des organisations – comme les organisations paysannes ou les entreprises agricoles privées, pourtant intéressées par les résultats de la recherche.
Despite efforts over recent years to improve the status of agriculture in sub-Saharan Africa, little change has been noted, due partially to the fact that efforts have come from individual entities, which had short-term funding or lacked the necessary expertise to scale up research outputs. Disconnect between researchers and end-users has further hindered the success of such efforts.
Malgré les efforts déployés ces dernières années pour améliorer la situation de l’agriculture en Afrique subsaharienne, peu de changements ont été observés. Cet insuccès est dû, en partie, au fait que ces efforts ont été consentis par diverses entités de petite taille, aux capacités de financement à court terme et sans l’expertise nécessaire pour diffuser les résultats de leurs travaux de recherche. De plus, ces initiatives ont aussi pâti de la déconnexion entre la recherche et les utilisateurs finaux.