Une évaluation approfondie du système de vulgarisation agricole tunisien montre que des paquets technologiques améliorés destinés au système de production agricole mixte élevage-orge en Tunisie semi-aride permettent d’économiser jusqu’à 40 % des coûts d’alimentation du bétail, mais ne sont pas largement adoptés. Les faibles taux d’adoption sont typiques pour de nombreuses technologies approuvées dans les pays en voie de développement.
What is grey literature? It is literature produced by non-commercial publishers, such as public institutions, universities, research institutes and civil society. It contains a lot of useful content, but is often hard to find as it is scattered across different locations. EIGE has collected grey literature on gender equality and you can access our collection through a simple search interface. EIGE’s collection of grey literature is available in several EU languages and documents come from all EU Member States.
Inclusion is a key issue for Agricultural Research for Development (ARD). Development goals in and of themselves call for better livelihoods and opportunities for the less privileged actors working in agriculture. They also call for greater equity and balanced representation of the population at an institutional level. This brief focuses on how ARD processes can more sensitively address gender relations and youth issues. Women and young people have distinctive needs and interests which can be less visible within broader “Producer Organizations”, for example.
This policy brief reports on a recent study, implemented by RUAF Foundation and supported by the Food & Business Knowledge Platform (F&BKP) and the CGIAR Water, Land and Ecosystems Research Program (WLE/ IWMI), on the role of the private sector in building more sustainable and resilient city region food systems
La présente note a pour objet de donner des éléments aux décideurs, au niveau national, pour leur permettre de procéder à des évaluations et de prendre les mesures voulues concernant la sécurité alimentaire et la nutrition face au changement climatique. Elle comprend des informations générales sur l’effet que le changement climatique et la variabilité du climat ont sur les secteurs de l’agriculture et la sécurité alimentaire et la nutrition et sur la façon dont ces secteurs et les habitudes alimentaires contribuent aux émissions de gaz à effet de serre.
L’objectif de cette note d’orientation est d’aider les chargés des politiques et les autres parties prenantes à favoriser un dialogue propre à renforcer l’attention portée à la sécurité alimentaire et à la nutrition dans les politiques en matière d’égalité des sexes.
The paper takes a critical look at two key interventions identified to deliver the PAEPARD capacity strengthening strategy. Firstly, the training of a pool of agricultural innovation facilitators (AIF) to broker relations between relevant stakeholders for the consolidation of effective consortia. PAEPARD envisaged the role of AIF as to support both the face-to-face and virtual (via skype, email or social media) engagement of partners in capacity strengthening processes.
Ce document analyse de façon critique deux interventions majeures identifiées pour mettre en œuvre la stratégie de renforcement des capacités de PAEPARD. La première intervention est la formation d’un vivier de facilitateurs de l’innovation agricole (FIA) pour assurer une médiation entre les acteurs concernés et, ainsi, consolider des consortiums efficaces. PAEPARD prévoyait que les FIA encouragent l’engagement virtuel (par l’intermédiaire de Skype, d’e-mails ou des réseaux sociaux) et en personne des partenaires dans des processus de renforcement des capacités.
Despite efforts over recent years to improve the status of agriculture in sub-Saharan Africa, little change has been noted, due partially to the fact that efforts have come from individual entities, which had short-term funding or lacked the necessary expertise to scale up research outputs. Disconnect between researchers and end-users has further hindered the success of such efforts.
Malgré les efforts déployés ces dernières années pour améliorer la situation de l’agriculture en Afrique subsaharienne, peu de changements ont été observés. Cet insuccès est dû, en partie, au fait que ces efforts ont été consentis par diverses entités de petite taille, aux capacités de financement à court terme et sans l’expertise nécessaire pour diffuser les résultats de leurs travaux de recherche. De plus, ces initiatives ont aussi pâti de la déconnexion entre la recherche et les utilisateurs finaux.