Over the past decades, Brazilian agriculture has played an important role in the international market, in response to growing global demand for products, services and food security. This achievement was in a large extent powered by the ability to generate knowledge and the actions promoted by science and technology institutes.
La extensión rural es un proceso de trabajo y acompañamiento con el productor orientado al desarrollo sostenible de sus capacidades. En México, se han adaptado una serie de modelos de extensión que van desde el norteamericano, implementado a principios de la década de 1980, hasta el modelo de hub o nodo de innovación (plataforma - módulo demostrativo - área de extensión), aplicado desde el 2010 en el marco del Programa MasAgro. El objetivo de este documento es analizar los diversos procesos de extensión en México.
Rural extension is a process of work and accompaniment with the producer aimed to sustainable development of their skills. In Mexico, a series of extension models have been adapted, that goes from the US, implemented in the early 1980’s, to the hub model or innovation node (platform - demonstration module - extension area) applied since 2010 under the MasAgro Program. The aim of this paper is to analyze the various processes of extension in Mexico.
Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).
L’ouest du Rio Grande do Sul est dominé par la culture du soja, du riz et par l’élevage bovin. Dans la partie sableuse, le milieu est affecté par des phénomènes d’érosion produisant des modelés éoliens spectaculaires (arenização) rappelant dans l’imaginaire ceux des déserts. La production agricole est importante ce qui engendre des prélèvements d’eau pour l’irrigation du riz, mais aussi l’utilisation de pesticides pour l’ensemble des cultures. La gestion durable des ressources en eau et en sol de cette région nécessite la mise en place d’action de conservation.
La consommation de produits certifiés n’est plus l’apanage des pays développés. Au Kenya, les premiers marchés biologiques sont apparus à Nairobi en 2006. Ils sont approvisionnés par des maraîchers, confrontés à une diversité de défis : construire une certification biologique crédible, garantir la fraîcheur des produits et composer avec l’hétérogénéité des attentes des consommateurs. À partir de données d’enquête et du cadre analytique des coûts de transaction, nous analysons l’organisation des marchés de 2006 à 2013.
L’information agricole est l’élément instrumentant le quotidien de l’agriculteur. Mais, les nombreuses politiques agricoles mises en place au Cameroun n’ont pas toujours facilitées la diffusion et l’accès à l’information agricole. Les agriculteurs ruraux n’ont accès qu’à une infime quantité d’informations sur l’agriculture, malgré l’énorme corpus de connaissances existant dans les instituts de recherche, les universités, les offices et les bibliothèques. Fort de cela, il serait judicieux dans la présente étude, de faire un examen des besoins en information des agriculteurs de la Menoua.
This article examines differences in the research approaches of farmers and scientists and analyzes how these differences are related to the conditions under which both groups engage in experimental work. Theoretical considerations as well as practical experiences are presented to emphasize the great potential of farmer–researcher collaboration for rural innovation.
El objetivo de este estudio fue identificar la estructura de la gobernanza para ampliar y consolidar el uso de prácticas de Adaptación basada en Ecosistemas (AbE) en agricultura. Se analizaron tres paisajes productivos distribuidos en tres países (Honduras, Guatemala y Costa Rica), caracterizados por la dedicación a la caficultura de pequeña escala. Para cada uno de estos paisajes se identificaron los actores que intercambian información entre la escala nacional y el nivel de los productores.
Una estrategia para apoyar a las comunidades de pequeños agricultores a adaptarse al cambio climático es el uso de prácticas de Adaptación basada en Ecosistemas (AbE), las cuales integran la conservación, restauración y manejo sostenible de ecosistemas y biodiversidad. Sin embargo, existe poca información de cómo los productores utilizan estas prácticas.