Du fait de leur transversalité et de leur objet, l'évaluation des politiques de développement territorial ne peut pas s'appuyer sur les outils utilisés pour évaluer les politiques sectorielles. Les questions procédurales sont très largement dominantes, les dispositifs portant essentiellement sur la gouvernance et la coordination. Pour évaluer une démarche procédurale, il convient de préciser le référentiel d’évaluation à la fois en termes du quoi et du comment évaluer.
Les notions de services environnementaux et de services écosystémiques (SE) ont connu un rapide engouement au cours de la dernière décennie et sont à l’origine de nouveaux instruments pour faire face à divers problèmes environnementaux, notamment la déforestation : les dispositifs de Paiements pour Services Environnementaux (PSE). Néanmoins, l’intégration du concept dans les politiques publiques reste un processus rare.
L’action locale est aujourd’hui confrontée au problème de changements climatiques, tant en termes de réduction des émissions de gaz à effet de serre que de gestion des impacts potentiels. La question particulière de l’adaptation aux changements climatiques émerge ainsi progressivement sur la scène locale et semble se généraliser depuis les évolutions législatives (Loi « Grenelle II ») qui rendent obligatoire la réalisation de plans climat-énergie territoriaux pour les collectivités de grande taille et des schémas régionaux climat-air-énergie.
Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).
This publication, consisting of several modules, includes participatory research approaches for examining a wide range of questions regarding if and how farming practices are being modified to deal with a changing environment, and the constraints and opportunities these changes pose for both men and women.
The aim of this study was to explore the interactions that exist among agricultural stakeholders in the southwestern highlands of Uganda as a way of identifying opportunities and gaps for operation of Innovation Platforms (IPs) under the proof of concept of Integrated Agricultural Research for Development (IAR4D) research project.
This report provides summary findings and conclusions from a set of five case studies examining the scaling up of pro-poor agricultural innovations through commercial pathways in developing countries.
The Feed the Future Uganda Agricultural Inputs Activity is to increase the use of high quality agricultural inputs in Uganda by increasing availability of high quality inputs to farmers in Feed the Future focus districts, and decreasing the prevalence of counterfeit agricultural inputs.
The organization of the Nutrition Innovation Labs represents a novel model for focusing U.S.- supported research on food and nutrition issues in developing countries. Their aims are to discover how policy and program interventions can most effectively achieve large-scale improvements in maternal and child nutrition, particularly by leveraging agriculture and build human and institutional capacity for applied policy analysis, research and program implementation.
The Bureau for Food Security (BFS) of USAID commissioned five country studies examining the scaling up of agricultural innovations through commercial pathways in developing countries, to understand how the Agency – including its country missions and implementing partners (IPs) – can use donor projects to achieve greater scale and long-term commercial sustainability.