The organization of the Nutrition Innovation Labs represents a novel model for focusing U.S.- supported research on food and nutrition issues in developing countries. Their aims are to discover how policy and program interventions can most effectively achieve large-scale improvements in maternal and child nutrition, particularly by leveraging agriculture and build human and institutional capacity for applied policy analysis, research and program implementation.
The paper is one of a series of research papers that are designed to timely disseminate research and policy analytical outputs generated by the USAID funded Feed the Future Innovation Lab for Food Security Policy (FSP) and its Associate Awards. The FSP project is managed by the Food Security Group of the Department of Agricultural, Food, and Resource Economics at Michigan State University (MSU), and implemented in partnership with the International Food Policy Research Institute (IFPRI) and the University of Pretoria (UP).
For smallholder agriculture to prosper and transform itself, access to rural services is essential. Rural services that enable smallholders to overcome constraints to increase their productivity, manage their farms as a sustainable business, link to inputs and outputs markets and act collectively to improve their livelihoods are a first line of action to reduce rural poverty. Undoubtedly, improving rural services has long been on the development agenda.
This brief summarises the results and recommendations of a scoping study that examined the current levels of professionalism in the Global Forum for Rural Advisory Services (GFRAS) regional networks. The aim was to provide evidence that would guide the future activities and tools offered by GFRAS as well as to promote inter-regional learning and information exchange.
For agricultural extension and advisory services (AEAS), social media presents a huge scope not just to communicate to the farmers better and with efficiency, but also to act as innovation brokers in Agricultural Innovation Systems (AIS). And not just for the organizations, social media has made it easier for farmers to communicate with extension professionals, experts and peers in real time. And with this increased potential to share views and ideas and easy access to information, discretion becomes important for organizations to maintain professionalism in a new social world.
La présente note commence par indiquer brièvement en quoi une politique de la concurrence est importante pour les économies en développement et en transition. Elle aborde ensuite certains éléments essentiels de l’établissement d’une culture de la concurrence. Idéalement, ce processus devrait tout d’abord consister en une « évaluation des besoins » dans différents domaines, qui permettra probablement de dresser une liste de mesures à hiérarchiser et à prendre.
Le présent document a reconnu l’existence d’un consensus international croissant au sujet de l’importance de l’objectif de renforcement des capacités et de la façon dont il a des chances d’être réalisé. L’accent a été mis sur la reconnaissance du fait que le renforcement des capacités est un processus endogène, sur l’importance de l’appropriation des politiques nationales qui en résulte, et sur la nécessité pour les donneurs de se limiter à encourager et à soutenir les efforts du pays.
Les investissements dans les agrocarburants en Afrique constituent une véritable question de développement. Ils sont pleinement concernés par le débat sur les acquisitions de terres à grande échelle et exposent les populations et les agricultures africaines à plusieurs types de risques. Dans le même temps, ils représentent une opportunité dans des pays où l’accès à l’énergie est sans doute un des principaux facteurs de blocage au développement. Certaines formes d’investissement peuvent être encouragées, à condition qu’elles profitent aux économies locales.
Impératif de développement et impératif de lutte contre le changement climatique sont plus que jamais liés. Le changement climatique accentue les inégalités en touchant de plein fouet les populations les plus pauvres. En accentuant la vulnérabilité de ces pays, il compromet chaque jour un peu plus leurs chances de se développer. C’est pourquoi, depuis 2007, Coordination SUD1 et le RAC-France ont décidé d’unir leurs forces pour peser davantage sur la position de la France dans le cadre des négociations internationales sur le climat.
La FAO a adopté une approche multidimensionnelle pour aider les exploitants familiaux pauvres à faire face aux difficultés qu’ils rencontrent au quotidien et renforcer leur capacité de création de revenus, afin de réduire la pauvreté rurale.