ste compendio pone a disposición del público los mensajes clave de los foros técnicos virtuales llevados a cabo por el Proyecto Insignia Productividad y Sustentabilidad de la Agricultura Familiar para la Seguridad Alimentaria y Economía Rural (PIAF) del Instituto Interamericano de Cooperación para la Agricultura (IICA) durante el período 2015-2017.
Este documento está pensado para dar una respuesta integrada a las necesidades específicas de los jóvenes rurales, trabajando desde temas de empoderamiento personal y grupal como autoestima, liderazgo, trabajo en equipo y comunicación, etc.; hacia otros más técnicos como asociatividad, generación de empresas, formulación de proyectos, gestión territorial y políticas públicas, entre otros. Procurando con ello una preparación más holística para enfrentar los retos de la ruralidad y las capacidades suficientes para tener un mejor acceso a las oportunidades de su entorno.
El objetivo del Sistema es el ampliar cobertura a productores/as que no tienen o tienen poca frecuencia de asistencia técnica por el sistema MAG, brindando respuestas a sus consultas sobre producción y comercialización de rubros agrícolas y pecuarios, a través de comunicación por vía telefónica:
• El productor/a recibirá información relevante para tomar decisiones.
• Se tendrá un monitoreo permanente de la situación agropecuaria.
El IICA ha elaborado este libro, La innovación para el logro de una agricultura competitiva, sustentable e inclusiva, para ofrecer a los países miembros, a los gobiernos, a los productores y a los actores relacionados con la agricultura continental una visión panorámica de este tema central para el sector agrícola.
ICA has developed this book, Innovation to achieve competitive, sustainable and inclusive agriculture with the purpose of offering member countries, governments, farmers and stakeholders in the continent an overview of this central issue for the agricultural sector. The document explains the importance of agricultural innovation and the way in which IICA has addressed and developed, based on the guidelines defined by the Heads of State and the Ministers of Agriculture of the Americas, the actions included in the strategic plan and the medium-term plans.
Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).
Le semis direct est un système de production fondé sur le non-travail du sol. Il intègre une série de pratiques agricoles qui permettent de protéger les sols cultivés de l’érosion, de réduire les consommations de carburants, voire d’augmenter les rendements. Le large succès du semis direct au Brésil, contribue à la compétitivité et à la forte croissance de ses productions tout en préservant les sols. Le système complet du semis direct sous couvert est fondé sur trois principes : le non-labour, la couverture permanente du sol et des rotations culturales.
L’ouest du Rio Grande do Sul est dominé par la culture du soja, du riz et par l’élevage bovin. Dans la partie sableuse, le milieu est affecté par des phénomènes d’érosion produisant des modelés éoliens spectaculaires (arenização) rappelant dans l’imaginaire ceux des déserts. La production agricole est importante ce qui engendre des prélèvements d’eau pour l’irrigation du riz, mais aussi l’utilisation de pesticides pour l’ensemble des cultures. La gestion durable des ressources en eau et en sol de cette région nécessite la mise en place d’action de conservation.
Au Brésil, la diffusion du modèle de gestion intégrée des ressources en eau varie fortement selon l’environnement socio-territorial. Le Sud présente un dynamisme certain s’appuyant sur des initiatives locales. Les acteurs locaux sont organisés en comité de bassin et développent des actions pour améliorer la gestion des ressources. Dans le Nordeste, la marche vers ces nouveaux modes de gestion paraît difficile tant les inerties sociales et culturelles freinent un partage réel du pouvoir, des ressources et des coûts.
La consommation de produits certifiés n’est plus l’apanage des pays développés. Au Kenya, les premiers marchés biologiques sont apparus à Nairobi en 2006. Ils sont approvisionnés par des maraîchers, confrontés à une diversité de défis : construire une certification biologique crédible, garantir la fraîcheur des produits et composer avec l’hétérogénéité des attentes des consommateurs. À partir de données d’enquête et du cadre analytique des coûts de transaction, nous analysons l’organisation des marchés de 2006 à 2013.