Poverty is prevalent in the small-farm sector of many developing countries. A large literature suggests that contract farming —a preharvest agreement between farmers and buyers— can facilitate smallholder market participation, improve household welfare, and promote rural development. These findings have influenced the development policy debate, but the external validity of the extant evidence is limited. Available studies typically focus on a single contract scheme or on a small geographical area in one country.
Contract farming has gained in importance in many developing countries. Previous studies analysed effects of contracts on smallholder farmers’ welfare, yet mostlywithout considering that different types of contractual relationships exist. Here, we examine associations between contract farming and farm household income in the oilpalm sector of Ghana, explicitly differentiating between two types of contracts,namely simple marketing contracts and more comprehensive resource-providing contracts.
Le système d’innovation est un concept clé pour l’analyse des changements socio-techniques qui renvoie à une structure et à des fonctions qui contribuent à développer et à diffuser l’innovation. Cet article propose une approche originale d’analyse d’un système d’innovation au travers des processus de diffusion spatiale d’un produit agricole : l’anacarde (noix de cajou). Les formes et les vitesses de propagation des vergers d’anacardiers sont analysées et mises au regard de la structure et des fonctions du système d’innovation.
Los servicios de extensión rural han contribuido al desarrollo agropecuario, sin embargo existe una brecha entre el conocimiento disponible y su adopción por parte de los agricultores, que dichos servicios no han logrado disminuir de manera sustancial. Por esta razón, el objetivo de este estudio fue analizar las tendencias de la investigación en extensión rural, que permitan identificar enfoques que contribuyan al planteamiento de recomendaciones para un servicio de extensión rural orientado al desarrollo de capacidades de autogestión de las comunidades rurales.
Les conventions locales peuvent être définies comme des accords légitimes négociés entre plusieurs parties prenantes (stakeholders) dans une perspective de régulation des ressources naturelles – en termes de contrôle, d’accès, d’appropriation, d’usage et d’exploitation – et de l’environnement. Au Sahel, bien qu’elles soient en vogue et jouissent davantage d’attention chez les décideurs, elles constituent des instruments encore peu exploités dans le contexte actuel de la décentralisation (Diallo, 2003).
L’ouest du Rio Grande do Sul est dominé par la culture du soja, du riz et par l’élevage bovin. Dans la partie sableuse, le milieu est affecté par des phénomènes d’érosion produisant des modelés éoliens spectaculaires (arenização) rappelant dans l’imaginaire ceux des déserts. La production agricole est importante ce qui engendre des prélèvements d’eau pour l’irrigation du riz, mais aussi l’utilisation de pesticides pour l’ensemble des cultures. La gestion durable des ressources en eau et en sol de cette région nécessite la mise en place d’action de conservation.
La consommation de produits certifiés n’est plus l’apanage des pays développés. Au Kenya, les premiers marchés biologiques sont apparus à Nairobi en 2006. Ils sont approvisionnés par des maraîchers, confrontés à une diversité de défis : construire une certification biologique crédible, garantir la fraîcheur des produits et composer avec l’hétérogénéité des attentes des consommateurs. À partir de données d’enquête et du cadre analytique des coûts de transaction, nous analysons l’organisation des marchés de 2006 à 2013.
This paper contributes to the ongoing discussion in the scientific literature on the advantages and disadvantages of privatization of extension and advisory services and the shift from thinking in terms of the traditional Agricultural Knowledge System towards a broader Agricultural Innovation System.
There are divergent views on what capacity development might mean in relation to agricultural biotechnology. The core of this debate is whether this should involve the development of human capital and research infrastructure, or whether it should encompass a wider range of activities which also include developing the capacity to use knowledge productively. This paper uses the innovation systems concept to shed light on this discussion, arguing that it is innovation capacity rather than science and technology capacity that has to be developed.
Recently, Agricultural Knowledge and Innovation Systems (AKISs) have gained considerable attention in scientific and political forums in the European Union (EU). AKIS is considered a key concept in identifying, analysing and assessing the various actors in the agricultural sector as well as their communication and interaction for innovation processes. Using qualitative expert interviews and organizational mapping, the features of national AKISs were investigated in selected EU member states (Belgium, France, Ireland, Germany, Portugal and the UK).