In the rapidly changing context of agri-food systems, extension and advisory services (EAS) are expected to provide new roles and services that go well beyond the traditional production-related technology transfer. Consequently, pluralistic EAS systems with diverse actors have emerged with diverse actors, including private and civil society organisations. These multiple EAS actors must adopt innovative entrepreneurship models if they are to act proactively and respond to the increasing diversity of farmers’ demands while staying independent and sustainable.
This event, co-organised by the UfM, FAO Regional Office for the Near East and North Africa (FAO RNE) and CIHEAM, aims to raise awareness on the gender-differentiated impacts of climate change on agri-food systems, and on the interventions that are needed to address them, build women and girls’ resilience, and unleash their potential to mitigate climate change and adapt to its impacts.
If the world is to transition towards agrifood systems that are more sustainable and equitable, small-scale production systems will be key to progress. Large parts of the world depend on small-scale systems for maintaining food security and nutrition (Lowder, Sánchez and Bertini, 2021; Herrero et al., 2017). Despite this centrality, neither small-scale production systems nor small-scale producers have received due recognition under predominant agrifood systems paradigms.
FAO has been promoting the use of ICTs in agriculture and has focused on ICT innovation for improving agricultural production and enhancing value chains. This publication is an effort to share success stories on the use of ICTs for agriculture and rural development. This publication showcases a few case studies where innovative use of emerging technologies together with capacity development has brought about rich dividends.
L’objectif de ce guide est de faciliter la planification et la mise en œuvre des
sessions de formation. Il fait partie du cours de Gestion d’entreprises associatives
rurales en agroalimentaire et a été conçu pour les facilitateurs qui possèdent
des connaissances et une expérience en ce qui concerne les aspects techniques de
la formation, mais qui n’ont pas forcément de compétences pédagogiques et qui
n’ont pas d’expérience leur permettant de faciliter le processus d’enseignementapprentissage.
La capacité de la région Proche-Orient et Afrique du Nord à réaliser des avancées majeures dans la concrétisation du deuxième Objectif de développement durable (ODD 2) dépendra, dans une large mesure, de la gestion durable des ressources en eau pour l’agriculture et de l’adaptation au changement climatique. La transformation agricole dans cette partie du monde a suivi une trajectoire particulière ayant conduit à un déséquilibre entre le développement agricole rural et urbain, qui se manifeste de manière très visible dans les systèmes de production alimentaire.
Pendant des siècles, les agriculteurs, éleveurs, pêcheurs et sylviculteurs ont développé des systèmes agricoles diversifiés, adaptés à leurs conditions locales, en employant des techniques et des pratiques ingénieuses, éprouvées au fil du temps, afin de fournir un ensemble vital de services sociaux, culturels, écologiques et économiques à l'humanité. Ces «Systèmes ingénieux du patrimoine agricole mondial» (SIPAM) sont des paysages d'une beauté remarquable associant la biodiversité agricole à des écosystèmes résilients et à un précieux patrimoine culturel.
Les Champs-Ecoles des Producteurs (CEP) sont une approche d’apprentissage participatif utilisée dans de nombreux différents contextes à travers le monde. Un CEP rassemble un groupe d'agriculteurs, d'éleveurs ou de pêcheurs, dans le but d’apprendre à s'orienter vers des pratiques de production plus durables. C’est un espace d’apprentissage collectif et concret, qui permet aux populations locales d'améliorer leurs compétences en matière d'analyse critique et de prise de décisions.
Pour parvenir à la sécurité alimentaire et réduire la pauvreté, les emplois décents sont essentiels. Souvent, dans les communautés rurales pauvres du monde entier, les hommes et les femmes sont entièrement tributaires de leur travail, qui est leur seule source de revenu, mais les emplois sont très précaires, peu rémunérés et les conditions de travail, parfois dangereuses. Plus de 85 pour cent des jeunes, soit environ 24 pour cent des travailleurs pauvres, vivent dans des pays en développement.
There are divergent views on what capacity development might mean in relation to agricultural biotechnology. The core of this debate is whether this should involve the development of human capital and research infrastructure, or whether it should encompass a wider range of activities which also include developing the capacity to use knowledge productively. This paper uses the innovation systems concept to shed light on this discussion, arguing that it is innovation capacity rather than science and technology capacity that has to be developed.