In this article it is analysed the results of applying a co-innovation approach to five research projects in the New Zealand primary sector. The projects varied in depth and breadth of stakeholder engagement, availability of ready-made solutions, and prevalence of interests and conflicts. The projects show how and why co-innovation approaches in some cases contributed to a shared understanding of complex problems. Our results confirm the context-specificity of co-innovation practices
Social media (SM) such as Twitter and Facebook are new communication tools for rural communities, and SM has enabled the creation of rural social networks. Increased use by farmers of 'mobile digital devices' and better rural access to broadband services have enhanced so that SM is being used to support farming decisions. However, in depth studies on how SM is used for knowledge sharing amongst farmers and the role of rural professionals (e.g. advisors) in this space is an emergent field with limited literature.
In this paper, presented at the 12th European IFSA Symposium (Workshop: "Generating spaces for innovation in agricultural and rural development") in 2016, the authors assess the integration of new entrants to small-scale farming into agricultural knowledge and innovation systems (AKIS), in four study sites located on Europe’s periphery (Bulgaria, Poland, Portugal, and the United Kingdom).
More than 25 years after the first implementation of Farmer Field Schools (FFS), there is a rich corpus of evidence that participation in FFS improves farmers’ knowledge, skills, and competencies. On the other hand, several studies converge to show that FFS, by strengthening group action, have the potential to build-up social capital among participants and, thereafter, within local communities.
Dans les régions laitières et bocagères, les exploitations agricoles sont souvent considérées comme les unités élémentaires de structuration de l’espace et du paysage rural. L’étude des logiques d’organisation des pratiques des agriculteurs apparaît ainsi comme une grille d’analyse pertinente des dynamiques de transformation de ces espaces et de ces paysages. Dans les exploitations laitières de l’Ouest Atlantique, les facteurs liés à la morphologie parcellaire (pulvérisation spatiale des parcelles, surface de l’exploitation) jouent un rôle prépondérant.
L’agriculture française fait l’objet de critiques du fait des pressions qu’elle exerce sur les ressources naturelles, des transformations qu’elle opère sur les paysages et de la qualité parfois contestée de ses productions. Face aux attentes sociales et aux pressions réglementaires, des agriculteurs ont choisi de s’organiser en réseau pour proposer des pratiques agricoles alternatives. Une véritable dynamique est en œuvre chez ces agriculteurs minoritaires qui cherchent à diffuser leurs expériences en créant de nouveaux liens au sein de la population agricole.
L’Agriculture de Conservation est un système s’inscrivant dans la démarche de l’agroécologie, fondé sur le non-labour, la couverture permanente du sol par des végétaux et des rotations longues et diversifiées. Le système vise à améliorer la productivité sur le long terme en respectant les services écosystémiques générés par l’activité biologique du sol et la matière organique qu’il contient. Les techniques de non-labour se sont développées sur le continent américain et en Australie. Elles prennent à présent de l’ampleur en Europe.
Au sud-est de la commune de Djougou, les eaux de surface à usage pastoral se raréfient depuis les années 1990. Pour en comprendre l’ampleur et les raisons, nous avons développé un outil permettant une analyse socio-spatiale et socio-environnementale, à l’échelle du finage de deux villages, des dynamiques des ressources, de leurs usages et des stratégies d’accès développées par les populations : un SIG « à dires d’acteurs » associant sur le même support une cartographie classique (réseau hydrographique, forêts, voies de communication, villages, etc.) et l’expertise des populations locales.
The European Innovation Partnership for agricultural productivity and sustainability (EIP-AGRI), which can be perceived as a platform based on interaction among farmers, researchers, and advisors/extensionists, represents a useful tool for a better understanding of applied innovation processes.
Multi-actors networks are increasingly used by farmers to link between them and to be interactively connected with other partners, such as advisory organizations, local governments, universities, and non-farm organizations. Given the importance assigned to the agricultural innovation by EU resorting to the networking between the research chain actors and the farmers, a strong focus on enhancing the creation of learning and innovation networks is expected.