Este documento trata de escuelas de campo y de cómo ayudan al desarrollo des capacidades.
Los aportes de la agricultura para el país son indiscutibles: cerca del 20% al Producto Interno Bruto, 40% del empleo nacional, alimentos; aunque la mayoría de cultivos se producen en sistemas convencionales algunos como el café y el cacao son generadores de servicios ecosistemicos como la captura de carbono y la infiltración de agua. Así mismo, la agricultura es generadora de cohesión social comunitaria y un extraordinario reservorio de cultura popular. Tres elementos de contexto ponen en riesgo este carácter multifuncional de la agricultura.
Del 1 al 4 de noviembre del 2016, expertos de varios países del hemisferio analizaron el papel de las mujeres rurales en el desarrollo y la sostenibilidad de la agricultura familiar, las políticas públicas diferenciadas para la agricultura familiar, el desarrollo rural en Centroamérica y la situación de la juventud rural en la región.
Se presenta en este documento la metodología de Escuela – Empresa desarrollada por el Ministerio de Agricultura y Desarrollo Rural de Colombia – Programa Oportunidades Rurales- y el Instituto Interamericano de Cooperación para la Agricultura (IICA) en 2010, como respuesta a los desafíos de fortalecimiento en capacidades de microempresarios rurales en Colombia, con una perspectiva de aplicación circunscrita inicialmente a los temas de comercialización, pero con una proyección de aplicación más allá de esta temática.
El objetivo del Sistema es el ampliar cobertura a productores/as que no tienen o tienen poca frecuencia de asistencia técnica por el sistema MAG, brindando respuestas a sus consultas sobre producción y comercialización de rubros agrícolas y pecuarios, a través de comunicación por vía telefónica:
• El productor/a recibirá información relevante para tomar decisiones.
• Se tendrá un monitoreo permanente de la situación agropecuaria.
L’objectif de ce guide est de faciliter la planification et la mise en œuvre des
sessions de formation. Il fait partie du cours de Gestion d’entreprises associatives
rurales en agroalimentaire et a été conçu pour les facilitateurs qui possèdent
des connaissances et une expérience en ce qui concerne les aspects techniques de
la formation, mais qui n’ont pas forcément de compétences pédagogiques et qui
n’ont pas d’expérience leur permettant de faciliter le processus d’enseignementapprentissage.
La consommation de produits certifiés n’est plus l’apanage des pays développés. Au Kenya, les premiers marchés biologiques sont apparus à Nairobi en 2006. Ils sont approvisionnés par des maraîchers, confrontés à une diversité de défis : construire une certification biologique crédible, garantir la fraîcheur des produits et composer avec l’hétérogénéité des attentes des consommateurs. À partir de données d’enquête et du cadre analytique des coûts de transaction, nous analysons l’organisation des marchés de 2006 à 2013.
Les Champs-Ecoles des Producteurs (CEP) sont une approche d’apprentissage participatif utilisée dans de nombreux différents contextes à travers le monde. Un CEP rassemble un groupe d'agriculteurs, d'éleveurs ou de pêcheurs, dans le but d’apprendre à s'orienter vers des pratiques de production plus durables. C’est un espace d’apprentissage collectif et concret, qui permet aux populations locales d'améliorer leurs compétences en matière d'analyse critique et de prise de décisions.
Pour parvenir à la sécurité alimentaire et réduire la pauvreté, les emplois décents sont essentiels. Souvent, dans les communautés rurales pauvres du monde entier, les hommes et les femmes sont entièrement tributaires de leur travail, qui est leur seule source de revenu, mais les emplois sont très précaires, peu rémunérés et les conditions de travail, parfois dangereuses. Plus de 85 pour cent des jeunes, soit environ 24 pour cent des travailleurs pauvres, vivent dans des pays en développement.
Ce manuel est destiné aux formateurs des organisations paysannes (OP) et à leurs membres en Afrique sub-saharienne. Le but étant de fournir une formation sur les techniques et opérations après-récolte afin d’améliorer la qualité des grains et ainsi de permettre l’augmentation des revenus et l’amélioration de la sécurité alimentaire des agriculteurs participants au programme. Dans le passé, les formations sur les opérations après-récolte n’ont pas été normalisées entre les différents pays membres du programme P4P.