La agricultura tiene una importancia estratégica en la agenda para el desarrollo. Es una de las principales fuentes de empleo, un motor del desarrollo económico y un sector cuyo crecimiento incide ampliamente en la reducción de la pobreza y en la erradicación del hambre.
América Latina, el Caribe y el mundo enfrentan una crisis que incluye, entre otras, dos dimensiones fundamentales: el dramático deterioro ambiental y la profunda debacle alimentaria. Dicha crisis se caracteriza por el acaparamiento, concentración y extranjerización de las tierras de los campesinos, de los indígenas originarios y de los afrodescendientes solo comparable con la que se dio durante la Colonia.
Le gouvernement de Lula a considérablement amplifié et diversifié le Programme d’Appui à l’Agriculture Familiale (PRONAF), créé par le gouvernement Fernando Henrique Cardoso en 1995. Ce choix affirmé sur la longue durée pour l’agriculture familiale, peut surprendre dans un Brésil qui a toujours, tout au long de son histoire, privilégié l’agriculture « d’entreprise » : latifundia et entreprises agricoles.
Cette partie a pour objectif de retracer l’histoire de la création de l’agroécologie et de comprendre les conditions qui lui permettent d’exister dans un contexte paysan rural. Depuis ces mêmes fermes, les protagonistes essayent de transmettre le sentiment et le cœur de l’agroécologie tout en laissant voir le fonctionnement du MACAC, les pratiques quotidiennes et les réflexions de chaque protagoniste.
Face aux enjeux majeurs pour l’avenir de la sécurité alimentaire et de l’agriculture mondiale, le phénomène d’acquisition et de location de terres à grande échelle est un sujet fortement controversé qui mobilise activement les médias et l’opinion publique.
Le présent document est organisé en deux grandes parties. Une première partie dite « de synthèse » qui à partir de six études de cas d’investissement massif dans les terres en Afrique, en Asie et en Amérique latine, se propose de :
Les Nations unies ont désigné 2014 comme l’Année internationale de l’agriculture familiale. À l’échelle de la planète, la population agricole est estimée à 2,6 milliards de personnes, soit 40 % de la population totale. Avec 1,3 milliard d’actifs, l’agriculture demeure le premier secteur d’emploi au niveau mondial. Dans les pays en développement, là où 70% de la population reste liée aux activités agricoles, l’alimentation des familles dépend essentiellement de la production vivrière et des marchés locaux. Aujourd’hui, défendre l’agriculture familiale ne suffit plus.
Le projet CALAO – Capitalisation d’expériences d’acteurs pour le développement de techniques agroécologiques résilientes en Afrique de l’Ouest – a été mis en œuvre au cours de l’année 2017 dans le cadre du Projet d’appui à la sécurité alimentaire en Afrique de l’Ouest (PASANAO), financé par l’AFD et dont la maîtrise d’ouvrage est assurée par la CEDEAO.
La lutte contre la malnutrition constitue un enjeu majeur de développement, longtemps négligé. C’est pourquoi la France, aux côtés de nombreux autres bailleurs, a pris des engagements internationaux pour lutter contre la malnutrition. La sous-nutrition ne concerne pas seulement les situations d’urgence et la malnutrition relève d’un ensemble de facteurs multisectoriels, très liés à un territoire donné. Il paraissait donc nécessaire à l’Agence Française de Développement de bien ancrer la lutte contre la malnutrition dans la réalité opérationnelle.
A fin de analizar el potencial de un programa multisectorial en América Central, en el marco del proyecto de Integración Económica Regional Centroamericana (INTEC), que cuenta con financiación de la Comisión Europea y el Ministerio de Asuntos Exteriores de los Países Bajos, el Centro para la Promoción de Importaciones desde países en desarrollo (CBI) encargó a ProFound – Advisers In Development y al Centro Agronómico Tropical de Investigación y Enseñanza (CATIE) la realización de un análisis de las cadenas de valor (ACV) para cinco sectores predeterminados de seis países: Guatemala, El Salv
El propósito del análisis presentado en este documento es estudiar algunos elementos en el contexto de unas cadenas (tomate y pepino) y un sector económico (hortalizas) priorizados por el Gobierno de la República de El Salvador. Esto se ha logrado gracias a la aplicación piloto de una herramienta cuantitativa desarrollada por el departamento de Desarrollo Económico y Social (ES) de FAO en Roma. Cabe destacar que este análisis no pretende ser un estudio exhaustivo de la cadena del tomate y pepino en el país sino que un ensayo para demonstrar el potencial de la herramienta.