Where CGIAR breeding programs rely on the private sector for the multiplication and distribution of improved cultivars, persistent challenges have dampened their impact on varietal adoption and turnover rates. Part of the problem is that research and practice in CGIAR and among its national breeding program partners tend to treat the private sector as a vehicle for seed delivery, rather than as commercial businesses facing a range of unique constraints and threats. This paper adopts a value chain framework to examine these relationships and pathways for improved varietal adoption/turnover outcomes in three cases: hybrid maize, farmed fish, and rice. In the first two cases, weak incentives and high risks left seed companies reluctant to invest in the marketing and quality assurance efforts needed to realize near-term impacts at scale from breeding investments. In the third case, seed companies played an insignificant role: grain traders supplied certified seed to smallholders, potentially prioritizing consumers’ quality preferences over climate-resilience and stress-tolerance traits for farmers. The findings raise important questions about the role of CGIAR and national breeding programs; specifically, how these programs can effectively support the private sector to deliver impact at greater scale, how consumer preferences are captured in trait prioritization within breeding programs, and what types of incentive mechanisms can be changed within breeding programs to advance a genuine shift towards ‘demand-oriented’ plant breeding.
La capacité de la région Proche-Orient et Afrique du Nord à réaliser des avancées majeures dans la concrétisation du deuxième Objectif de développement durable (ODD 2) dépendra, dans une large mesure, de la gestion durable des ressources en eau pour...
L’édition annuelle de Défis Sud propose un regard sur les agricultures, avec des faits, des chiffres et des prévisions. Face à l’augmentation de la population, au réchauffement climatique et à la perte de ressources naturelles, les solutions proposées pour répondre...
C’est un pays-continent, planté au milieu de l’Afrique centrale, dont les possibilités agricoles et rurales sont énormes. Les dirigeants de la République démocratique du Congo doivent cependant dépasser une vision extractive de l’économie et renforcer les véritables forces productrices, essentiellement...
Comment se porte le secteur laitier ? En Europe, il n’en est pas à sa première crise. Au Sud, il subit les conséquences de la surproduction et des exportations massives.
La production et le commerce du lait sont révélateurs des enjeux de la lutte contre la pauvreté. La volatilité des prix du lait sur les marchés internationaux constituerait l’une des principales entraves au développement de filières laitières dans les pays...