De nombreux agriculteurs africains pratiquent des formes d'agriculture potentiellement qualifiables de "?biologiques?". Pourtant, la capacité de l'agriculture biologique à répondre aux enjeux de la sécurité alimentaire en Afrique est encore mal connue, car il existe peu de références expérimentales disponibles dans cette région. L'élicitation probabiliste est une méthode permettant de rendre compte de manière précise des connaissances d'experts sur une ou plusieurs quantités d'intérêt, et de décrire les niveaux d'incertitude associés.
Le Niger compte parmi les pays les plus vulnérables au monde en raison du contexte lié à son climat, ses institutions, ses sources de revenus, son économie et son environnement. La pauvreté y est omniprésente et le pays se classe au bas de l’échelle sur la quasi-totalité des indicateurs de développement humain. L’agriculture est le secteur le plus important de l’économie du Niger. Elle représente plus de 40 pour cent du le produit intérieur brut national et constitue la principale source de revenus pour plus de 80 pour cent de la population.
Bien que le nombre de personnes vivant au-dessous du seuil de pauvreté en Ouganda ait diminué de moitié cette dernière décennie, le taux de malnutrition a augmenté de 27 à 30 pour cent. Au cours de la même période, la consommation alimentaire journalière par habitant a reculé de 9,5 pour cent, ce qui représente une baisse des apports énergétiques alimentaires. Plusieurs raisons expliquent cette situation, mais selon le Plan d’action pour la nutrition de l’Ouganda (2011-2016) le manque de capacités est l’un des cinq principaux facteurs à l’origine de la persistance de la malnutrition.
La agricultura familiar de los países del Sur constituye uno de los sectores más directamente afectados y amenazados por los cambios climáticos. La cuestión de la adaptación, y en particular, la de la adaptación de la agricultura, ha ido ganando terreno en el transcurso de la última década en las agendas políticas nacionales e internacionales.
The Scaling Agricultural Innovations Workshop gathered scaling experts from a range of organizations and agriculture sectors to share their experiences and ideas on the findings and lessons learned from five case studies (hybrid maize in Zambia, irrigated rice in Senegal, Purdue Improved Crop Storage bags in Kenya, agricultural machinery services in Bangladesh, and Kuroiler chickens in Uganda).
Women play important roles at different nodes of both agricultural and off-farm value chains, but in many countries their contributions are either underestimated or limited by prevailing societal norms or gender-specific barriers. We use primary data collected in Asia (Bangladesh, Philippines) and Africa (Benin, Malawi) to examine the relationships between women’s empowerment, gender equality, and participation in a variety of local agricultural value chains that comprise the food system.
Building on this potential, Katalyst’s Women’s Economic Empowement (WEE) sector designed an intervention to provide training in modern prawn cultivation techniques and input and create linkages between feed and aqua-chemical companies with women prawn farmers of the Jessore-Khulna Bagerhat Satkhira Narail belt. Through this intervention, 22,170 women farmers have improved access to quality inputs and relevant know-how.
Women in agriculture are far from the end of poverty, zero hunger, quality education, and gender equality — some of the sustainable development goals that can be significantly improved if we achieve greater participation and better working conditions for women in agriculture.
AARINENA was established to strengthen cooperation among national, regional and international agricultural research institutions and centers to ultimately support the agricultural sector in its member countries. Women farmers significantly contribute to the agricultural development in the WANA region, but often remain invisible in agricultural research and knowledge transfer.
The paper analyses the linkages that prevail between women’s empowerment, agriculture and household consumption, through a case study of an initiative for empowerment of women farmers, Mahila Kisan Sashaktikaran Pariyojana (MKSP), undertaken by the M S Swaminathan Research Foundation (MSSRF), which became a government-funded national-level programme in 2010..