Cette brochure présente un programme stratégique intitulé «Combler le fossé numérique en milieu rural», mis en œuvre en 2003 pour l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Le programme exposait des approches novatrices pour le partage des connaissances qui tiraient partie des nouvelles technologies numériques (de l’époque) et qui s’appuyaient sur des synergies entre la gestion de l’information et la communication pour le développement. A l'époque cela était appelé «information et communication pour le développement" (ICD).
Este folleto presenta el Programa estratégico para “Reducir la Brecha Digital en el Medio Rural”, implementado en 2003 por la Organización de las Naciones Unidas para la Alimentación y la Agricultura (FAO). El programa destacó enfoques novedosos para el intercambio de información, que aprovechaban de nuevas (en ese tiempo) tecnologías digitales, y se basaban en sinergias entre la gestión de información y la comunicación para el desarrollo. En ese momento este proceso se llamaba "Información y Comunicación para el Desarrollo" (ICD).
Depuis plusieurs décennies, les pays de l’Afrique de l’Ouest se sont investis dans le développement et la diffusion des innovations agricoles dans le but d’accroître la productivité agricole et la production vivrière en particulier. Plusieurs mécanismes et approches ont été développés à cet effet en vue d’une utilisation efficace de ces innovations agricoles par les producteurs.
L’objectif de ce travail est de proposer un plan de formation des différents catégories d'acteurs (à identifier) dans le but d'apporter une contribution significative au renforcement de capacité dans chaque pays et dans la sous-région. Des actions précises visant à permettre aux acteurs de lever les éventuels blocages institutionnels devront accompagner ce processus de renforcement des capacités, notamment en ce qui concerne la négociation, le lobbying, la mise en réseau etc.
Les résultats attendus de ce travail sont :
This report documents the history of the systems of rice intensification (SRI, for short) in India in the last few years and presents some of the institutional changes and challenges that SRI throws up. The first part looks at the complex and continuing evolution of SRI in India and presents SRI as an innovation in process and not as a completed product. Farmers and other actors are continuously shaping it through their practice. Part II focuses on insights of the innovation systems framework looking closely at the nature and quality of linkages of the various actors.
The provision of basic market information is a service that aims to increase the efficiency of agricultural markets and contribute towards overcoming basic issues of market failure based on asymmetrical access to information. However, debate on the need for long-term support to a market information system (MIS) continues. A quantitative and qualitative survey was undertaken to provide a measure of accessibility, usefulness and utility of the current MIS, and to access how this type of service may be financed and improved in the future.
Les partisans de la souveraineté alimentaire veulent développer les agricultures locales, tandis que les avocats de la libéralisation vantent les bienfaits d’un approvisionnement à moindre coût sur les marchés. Les premiers pensent que les Etats doivent définir leur politique agricole pour répondre aux besoins de leurs populations, les seconds préfèrent le concept de « sécurité alimentaire », affirmant qu’il reconnaît aussi à chaque citoyen le droit de se nourrir à sa faim. Le combat pour la souveraineté a du mal à s’imposer dans l’arène politique.
There are divergent views on what capacity development might mean in relation to agricultural biotechnology. The core of this debate is whether this should involve the development of human capital and research infrastructure, or whether it should encompass a wider range of activities which also include developing the capacity to use knowledge productively. This paper uses the innovation systems concept to shed light on this discussion, arguing that it is innovation capacity rather than science and technology capacity that has to be developed.
The publication reviews forty years of development experience and concludes that donors and partner countries alike have tended to look at capacity development as mainly a technical process, or as a transfer of knowledge or institutions from North to South.
The IPMS project proposes to ‘contribute to improved agricultural productivity and production through market-oriented agricultural development, as a means for achieving improved and sustainable livelihoods for the rural population’ in Ethiopia. To accomplish this goal the project supports development and (action) research on innovative technologies, processes and institutional arrangements in three focus areas i.e.