Participatory Guarantee Systems (PGS) and short organic supply chains have emerged as promising solutions for smallholder farmers to provide organic produce to nearby consumers. PGS is an institutional innovation that builds trust among producers, traders and consumers through a low-cost transparent and participatory certification mechanism. They have particularly gained a foothold among smallholder farmers in middle- income countries, where third-party certification costs are often unaffordable.
The Korea National University of Agriculture and Fisheries (KNUAF)'s innovative program is helping South Korea overcome issues relating to its ageing rural population while simultaneously developing elite human resources to establish and promote a highly competent agriculture sector. Since its inception, the KNUAF has been producing young highly competent professionals to manage its high tech agriculture either as entrepreneurs or farm managers.
The adoption of new technologies can contribute to both efficiency and effectiveness and is a key source of long-term competitive advantage in entrepreneurial ventures. This is particularly relevant for poverty entrepreneurs. However, the literature on technology adoption and use in the poverty context is sparse, and is predominantly focused on developing economies. The current article seeks to address these shortcomings. We identify critical areas of typical ventures launched by the poor that are affected by technology.
Meeting rising global demand for food and responding to changes such as climate change, globalization, and urbanization will thus require good policy, sustained investments, and innovation – not business as usual. Agricultural innovation enables the agriculture sector, farmers and rural entrepreneurs to adapt rapidly when challenges occur and to respond readily when new opportunities arise – for example in the fields of technology and markets.
Le présent rapport concerne l’évaluation finale du projet «Intégration de la résilience climatique dans la production agricole et pastorale pour la sécurité alimentaire dans les zones rurales vulnérables à travers l’approche des champs-écoles des producteurs» (GCP/NER/043/LDF) financé par le Fonds pour l’environnement mondial (FEM) et exécuté conjointement par l’Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et le Gouvernement du Niger de 2015 à 2021.
L’approche Champs-Écoles Producteurs (CEP) est introduite au Ghana en 1996, au Niger en 1999 et au Sénégal en 2000 via le projet « Gestion intégrée de la Production et des Déprédateurs (GIPD) » soutenu par la FAO.
RECUEIL DE SUJETS SPECIAUX POUR LES CEAP ANIMES PAR LES FACILITATEURS LOCAUX ET TECHNICIENS
SOUTIEN À L’ADAPTATION AUX CHANGEMENTS CLIMATIQUES AU MALI On s’attend à ce que les changements climatiques provoquent de plus en plus d’événements extrêmes (sécheresses et inondations) au Mali, rendant la production de cultures et l’élevage plus difficiles pour les agriculteurs et réduisant ainsi la sécurité alimentaire et les revenus des plus pauvres du pays.
Au Burkina Faso, le faible niveau de développement social et économique et sa population à grande majorité rurale rendent le pays très dépendant des ressources naturelles. Pour se nourrir, se loger et s’épanouir, les ressources naturelles sont directement prélevées et les terres sont de plus en plus mises en culture sous la pression démographique au détriment des espaces naturels. En effet, les ressources naturelles constituent le support de la plupart des activités de production.
Ce guide a pour but de vous initier à l’utilisation et à la rédaction de fiches techniques sur les bonnes pratiques pastorales et agropastorales. L’objectif étant de vous fournir un outil de gestion des connaissances pleinement opérationnel dans lequel les informations sur les bonnes pratiques sont continuellement documentées et diffusées en interne et en externe aux partenaires.