Depuis que les êtres humains sont passés à un mode de vie agraire, les progrès technologiques ont permis des évolutions dans l'agriculture, résultant en de plus grandes variétés et rendements des cultures. Après les révolutions de la sélection végétale et de la génétique, une troisième révolution verte prend le contrôle du monde agricole basé sur l'application des technologies de l'information et de la communication (TIC) telles que les capteurs et actionneurs, l'Internet des objets (IoT : Internet of Things), l'intelligence artificielle, les véhicules aériens sans pilote (UAVs, drones).
L’agriculture doit faire face à un défi majeur : nourrir la population en constante augmentation. Ce secteur a toujours été porté par l’innovation et connaît une accélération de sa transformation avec le numérique et l’Internet des objets (IOT). Explications.
Le programme de la GIZ intitulé « Amélioration des conditions-cadres dans le secteur privé et financier (ProEcon) » vise à promouvoir le développement économique au Zimbabwe. Parmi les projets conçus à cet effet figure la promotion des cycles économiques en milieu rural. Se fondant sur l’agriculture contractuelle comme instrument efficace, le projet ProEcon appuie l’intégration des petits exploitants agricoles dans les chaines de valeur, l’objectif étant d’augmenter leurs possibilités de revenu.
Sur la base de 16 études de cas, nous cherchons à comprendre comment l'usage des technologies de l'information et de la communication (TIC) transforme les dispositifs de conseil agricole au Burkina Faso. Si les outils employés et les thématiques du conseil sont diversifiés, les services demeurent récents et inaboutis. Les prestataires de conseil cherchent en effet à améliorer les outils et services, dont la durabilité n'est pas encore garantie. Ceci s'explique notamment par la complexité du travail inter-organisationnel pour développer ces services.
Les capteurs, allant du simple thermomètre jusqu’aux drones, se sont démocratisés dans les exploitations agricoles. Ils permettent désormais de collecter une multitude d’informations sur l’ensemble de l’exploitation et de transmettre en temps réel des données sur l’état et les performances des machines, des cultures et des animaux.
Le présent rapport étudie les possibilités que les nouvelles avancées technologiques liées à l’automatisation et à l’agriculture de précision (la robotique, par exemple) peuvent offrir à l’agriculture dans les pays en développement. Ces technologies visent principalement à aider les agriculteurs appelés à faire face au coût de la main-d’oeuvre nécessaire pour les opérations de récolte, ainsi qu’à répondre au problème de la raréfaction de la main-d’oeuvre disponible pour l’ensemble des travaux agricoles.
L’étude propose une série de mesures qui s’avèrent nécessaires et urgentes pour sauver, consolider et revoir le secteur agricole dans cette situation entourant le coronavirus en Tunisie, et ce, afin de pouvoir penser l’après-Covid-19.
En Tunisie, l’agriculture fait sa révolution numérique: Capteurs installés dans les conduits d’irrigation et dans le sol, colliers émetteurs au cou des vaches… Le monde agricole tunisien est en pleine mutation.
La population mondiale atteindra probablement les neuf milliards de personnes d’ici le milieu du siècle. Selon les estimations de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), il faudrait augmenter la production alimentaire de 60 pour cent pour les nourrir. Ces produits alimentaires supplémentaires devraient dans l’idéal être produits là où ils sont censés être consommés, c’està-dire dans les pays en développement. Pour y parvenir, ces pays doivent augmenter sensiblement leur production.